Kyôsô no Gakuen
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 « Prélude » [PV Takashi Yuki]

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Ishihara Yumi
My Silent Heaven
Ishihara Yumi


Féminin
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Âge ~ Année : 19 ans ~ 3ème année

Activité : Musique ~ Piano ♥️

Sexualité : Hétéro' ; Je déteste les filles !
Humeur : Déprimée ~

Am I ... ? : Ne venez pas vous apitoyez sur moi, je ne veux pas de vos hypocrisies.

Situation : « Mieux vaut être seule que mal accompagnée »
Topics : Ouvert ♥

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MessageSujet: « Prélude » [PV Takashi Yuki]   « Prélude » [PV Takashi Yuki] Icon_minitimeDim 25 Oct - 23:41

« Prélude »


    La solitude et moi, une grande histoire d’amour. J’adorais me retrouver seule dans un endroit pareil, et j’avais également de la chance d’avoir été acceptée dans cette école, en plus, les jardins étaient magnifiques. Je suis persuadée que lors du Hanami, les cerisiers doivent être magnifique … aujourd’hui je m’étais mise une perruque blonde, mes « cheveux » m’arrivaient au milieu du dos, à peu près. J’aimais changer de tête, mais elles coûtaient chères ces perruques là, c’était un de mes seuls plaisirs, comme celui de jouer de la musique.
    Justement, j’avais emmené mon violoncelle, je suis petite et très mince alors un tel instrument et lourd pour ma pauvre petite personne, mais je désirais en joué dans un endroit aussi agréable, et ça m’apaiserai.

    Je sortis mon instrument de la grande housse qui pesait dans les 5kg, je la déposai contre un arbre qui se trouva à l’extrémité d’un banc. Je respirai d’abord l’air frais, l’air y était frais … quelque frissons parcouraient mon corps, mais ça ne me dérangeait pas car j’aimais l’hiver.
    Ma tenue était très douce, que des couleurs pastels, j’abordai une robe longue blanche, il y avait des frou-frou un peu partout ceux-ci étaient d’un rose plutôt pâle, il y avait un corset rose également pour maintenir ma taille, les manches étaient longues et bien sûr, en petite « cosplayeuse » que j’étais, un nœud orna ma jolie chevelure blonde platine. Une fois assise, je mis mon instrument entre mes jambes, je me mis a sourire car j’allais jouer une de mes œuvres préférées de Jean-Sébastien Bach, c’était un grand compositeur de l’époque Baroque. Ces œuvres me font souvent pleurer. Je soupira et commença à jouer les premières notes sur mon grand instrument, mon beau violoncelle couleur caramel, il était en bois, c’était un vrai … bien entendu. J’en prenais grand soin, l’œuvre que j’interprétais était un prélude de Bach, Cello Suite No. 1

    Je jouais toujours avec passion, toujours avec ardeur. Je m’appliquais, j’étais perfectionniste, si j’avais le malheur de rater une note, je recommençais tout dès le début. Chaque note me faisait vibrer, chaque son, chaque petit geste. Rien n’était plus plaisant que de jouer une telle composition, rien n’était plus beau que la musique classique. Je détestais la musique contemporaine, ce n’était que niaiserie parmi tant de beauté.
    La douce brise caressait mon instrument tout en caressant mes doigts gelés, des larmes coulèrent sur mes joues. Je ne tenais plus, je n’en pouvais plus. J’aurai voulu que le vent m’emporte et ne plus jamais revenir ici, était-ce possible ?
    Je ressemblais à une poupée de porcelaine, j’étais fragile. Beaucoup trop, lorsqu’un homme me touchait j’avais l’impression qu’avec sa main il me briserait en plusieurs morceaux. Pourtant, je pouvais m’infliger tel ou telle souffrance, ça ne changeait rien. Je résistais, j’étais surhumaine ? Je ne savais plus. Je ne pouvais pas vivre sans la musique, si je n’avais pas au moins ça, j’en mourrai, je le savais pertinemment. Si seulement il revenait, je voulais que mon seul ami revienne de l’étranger. Je souhaitais ça de tout cœur, chaque soir je rêvais de lui ~ De nous ; Nos retrouvailles.

    La musique toucha a sa fin, j’étais exténuée. Je jouais avec tant de force que parfois il m’était impossible de poursuivre aussitôt, je me permis une pause mais elle sera de courte durée, je ne pouvais pas enchaîner les musiques. Je pensais composer mes propres musiques, mais je n’arriverai jamais à dépasser mes maîtres, Bach et Chopin. J’avais peur d’échouer.
    Je m’installai confortablement, avec mon instrument, je le nettoya, le bichonna lorsque près de moi, un son retentit. Je voulais fuir comme une biche, mais je restais, curieuse de connaître l’origine de ce bruit. Mon ouïe était très performante, j’entendais loin et toujours précisément, j’avais l’impression que quelqu’un est proche de moi, je sens une présence mais étrangement, elle me rassure. Je me retourne, et d’un air doux, je prononçai des mots de ma voix aiguë, un léger sourire s’étira sur mes lèvres même si ce n’était pas mon habitude, mais je lui souris car c'était un jeune homme qui se présenta devant mes yeux.

    « Vous aussi, vous appréciez la musique ? »


[ Pour voir à peu près ce que Yumi joue, je t'ai mis un lien pour le texte "Cello Suite No. 1" :) ]
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Takashi Yuki

Takashi Yuki


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Âge ~ Année : 18 ans ~ 3ème Année
Activité : Dortoir Taiiku ~ L'Athlétisme, c'est mon dada !
Sexualité : Un fort penchant pour la gente masculine...
Humeur : Un peu maussade ... Trop de souvenirs qui reviennent ... é_è
Situation : Ca vous intéresse ?
Topics : Complet.

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MessageSujet: Re: « Prélude » [PV Takashi Yuki]   « Prélude » [PV Takashi Yuki] Icon_minitimeMar 27 Oct - 19:58

    Silence.
    Omniprésent ce jour là chez le jeune japonais, il est devenu maître mot. Le calme est un refuge où Yuki se terre avec plaisir lorsque souvenirs douloureux refont surface. Il lui ressemble tellement, dans ces moments-là. Aujourd’hui serait pénible ; en ce moment, le jeune japonais ne se sentait pas bien. Bientôt, le jour « anniversaire » de sa mort. Il ne voulait pas se l’avouer mais il ne s’était toujours pas remis de sa perte et ni l’athlétisme, ni cette nouvelle école, ne lui ferait oublier. Mais il savait que malgré tout, son cœur continuait à battre et que les sentiments et diverses émotions propres à l’humain ne l’avaient pas encore quitté. Alors quoi. Oui, il était malheureux ; chaque jour était plus pénible que le précédent. Mais il s’accrochait tout de même à la vie. C’était idiot, il le savait, puisqu’il avait perdu sa raison de vivre. Pourtant le suicide ne lui effleurait même plus l’esprit. Soupir. Que faisait-il exactement ici ?

    Il se leva. Son humeur était plus noire que d’habitude. Sûrement pour ça que les pensées malsaines étaient beaucoup plus présentes. Assis sur le lit, vêtu d’un simple caleçon, ses yeux tombèrent sur le réveil. Les chiffres numériques rouges indiquaient 6H37. Il était tôt. Pour l’heure, le jeune homme s’appliquait à faire sa toilette matinale. Yuki se regarda dans le miroir. On pouvait deviner sur les traits de son visage la grande souffrance qui semblait ne pas le quitter. Cette mine fatiguée et abattue lui était devenue familière. Il se souvint alors qu’il aimait beaucoup sourire lorsque ses parents le prenaient en photo ou qu’il était avec ses sœurs. Volontairement, il rejeta les souvenirs incluant Satoshi. Il aurait voulu sourire en se remémorant son compagnon, mais à quoi bon si le cœur n’y était pas ? C’est donc sans un sourire qu’il s’habilla lentement, gêné dans son processus par sa main pendante. Au bout d’un moment, il sortit de la salle de bains, sa serviette jetée négligemment sur l’épaule, rejoignant tranquillement son espace vital. Une fois dans sa chambre, Yuki posa la serviette sur le dossier d’une chaise puis s’approcha de la fenêtre. Son colocataire ne semblait pas réveillé ; tant mieux. Il n’avait ni l’envie de parler, ne celle de le déranger dans son sommeil. Le temps semblait clément aujourd’hui. Les rayons du soleil perçaient les quelques nuages filamenteux présents. Le japonais hésita. Avait-il envie de sortir ? Malgré son humeur maussade, il sentit pointer en lui l’envie d’observer la nature. Sourire hésitant. Son regard s’égara sur son bureau ; fait improbable depuis des années, il y attrapa un carnet de dessins, neuf, ainsi qu’un crayon de bois méticuleusement taillé en pointe. Cela faisait longtemps qu’il avait abandonné toute activité artistique (mis à part la lecture) au profit du sport. Et pourtant, ces moments lui donnaient envie de dessiner. Craignant d’avoir légèrement froid dans ce paysage matinal, il enfila une veste et entreprit de lacer avec rapidité ses chaussures. Yuki s’enfonça dans les longs couloirs pour rejoindre l’extérieur.

    Un rayon malin frappa son visage. Le vent le fouetta de sa puissance naturelle. Les yeux marron du jeune homme se perdirent au loin. Son carnet sous le bras droit, le japonais se dirigea vers l’endroit d’un pas mesuré. Il se trouvait à l’entrée des jardins, calmes à cette heure-ci. Le jeune homme se sentait attiré par cet endroit. Un sentiment de bien-être l’envahit lorsqu’il fut sous le couvert de quelques grands arbres. Un sentier avait été tracé pour naviguer entre les différents arbustes ou parterres de fleurs. Le jeune homme sursauta. La main droite posée sur le tronc d’un arbre gigantesque, il resta aux aguets. Un léger bruit venait de se faire entendre. Tous les muscles de son corps crispé, le jeune homme essaya de se calmer en se rappelant qu’il était dans les jardins de l’école, donc qu’il ne craignait rien. Il se traita d’idiot puis continua son chemin, à peine rassuré.

    Il arriva dans une petite clairière. Peu éclairée, quelques rayons parvenaient tout de même à percer l’épaisseur des feuillages au dessus de sa tête. Le jeune homme avisa une grosse pierre dont la forme permettait une stabilité précaire. Il s’y assit. Un soupir s’échappa de ses lèvres alors qu’il regardait autour de lui. Tout était étrangement calme et bruyant à la fois. A vrai dire, en ce moment, le jeune homme était constamment face à des paradoxes, que ce soit dans ses sentiments, dans ses actions ou ses impressions. Son regard aiguisé parcourut la clairière à la recherche d’un élément attirant son attention. Yuki ne put retenir un sourire lorsqu’un petit oiseau vint se poser sur une branche basse à quelques pas de lui. C’est à croire que l’animal avait fait exprès de se poser à cet endroit là. Il ne pouvait refuser ce cadeau de la nature. Installant son carnet sur ses genoux, le stabilisant du mieux qu’il put, il sortit son crayon de sa poche. Dès le premier coup de crayon, le jeune homme retrouva des sensations oubliées jusque là. Son regard se posait tantôt sur l’oiseau, tantôt sur la feuille cartonnée à une vitesse impressionnante. Malgré le temps qui s’était écoulé depuis la dernière fois où il avait tenu un crayon dans ses mains, l’art du dessin semblait ne pas l’avoir quitté. Peu à peu, l’oiseau de papier prenait forme à partir des divers ronds ou formes géométriques. Intérieurement, Yuki se sentait heureux. Heureux de communier une fois de plus avec la nature et ses éléments. Le visage crispé par la concentration, il s’évertuait à rendre aussi fidèlement que possible le petit oiseau sur papier. L’animal sautillait sur la branche mais, semblant se plaire en tant que modèle, ne s’était toujours pas envolé. Jusqu’à ce qu’un bruit ne le pousse à déplier ses ailes ; l’oiseau s’éloignait. Yuki releva la tête en fronçant les sourcils. Quelque chose avait fait peur à son petit modèle et la source du bruit parvint clairement aux oreilles du jeune homme.

    Quelqu’un jouait de la musique. Non, c’était plus que cela. A l’oreille, il ne pouvait pas bien déterminer l’instrument mais la mélodie lui était familière. Une œuvre classique. D’un de ces si grands auteurs jamais égalés. Yuki se releva donc de son siège improvisé et se mit en quête du mystérieux musicien. Guidé par la musique, il ne tarda pas à tomber sur la personne en question. La vision lui coupa le souffle. La musicienne, puisque c’était une fille, était assise sur le banc, un grand violoncelle calé entre ses jambes. Mais Yuki fut surtout frappé par l’expression de la jeune fille. Bien qu’il soit arrivé sur sa gauche, il voyait nettement son visage tordu par la concentration et la passion ; de fines larmes coulaient sur ses joues. Elle était magnifique. Il ressortait de l’étrange demoiselle une pureté que ne faisaient qu’accentuer ses habits. Yuki la regardait, hébété, les bras le long du corps, son carnet de dessin pendu au bout de la main droite. Il se laissa transporter par la musique, ferma les yeux et se sentit tout de suite mieux. Cette désagréable journée prenait un nouvel essor. La souffrance et la douleur qu’il ressentait depuis quelques jours étaient noyés par la douce mélodie. Qui prit pourtant fin. Son arrivée devait coïncider avec la fin du morceau. Toujours dans ses pensées, comme sur un autre monde, Yuki ouvrit les yeux lorsque la jeune fille le remarqua, un sourire aux lèvres. Ses paroles restèrent sans réponse pendant quelques minutes. Quand le jeune homme voulut parler, il s’aperçut que sa gorgée était serrée. Levant les mains à ses joues, il s’aperçut qu’il avait pleuré. Oh non. Honteux, il s’essuya prestement avec sa manche en disant, d’une voix rauque et mal assurée :

    « Je... suis désolé. Je ne voulais pas déranger... Ce..c’était très beau. »

    Yuki comprit avec horreur que les larmes coulaient de continuer, traîtresses, sans qu’il parvienne à arrêter le flot. Etait-ce sa tristesse qu’il évacuait à travers la musique ? Le jeune homme n’aimait pas pleurer. Et surtout pas devant quelqu’un. Pourtant, et sans savoir pourquoi, cette musique lui avait rappelé Satoshi. Reniflant à plusieurs reprises, il eut quelques rires nerveux. Cacher sa gêne était bien difficile. Il comprit qu’il n’arriverait pas à se calmer facilement alors Yuki laissa couler quelques larmes et, s’approchant de la jeune fille, un mince sourire se dessina sur ses lèvres. Reprenant son souffle, il dit, d’une voix plus douce :

    « Oui, j’aime beaucoup. Même si... même si ça faisait longtemps que je n’avais pas entendu ce genre de musique. Vous... jouez très bien. »
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Ishihara Yumi
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MessageSujet: Re: « Prélude » [PV Takashi Yuki]   « Prélude » [PV Takashi Yuki] Icon_minitimeLun 2 Nov - 1:18

    Mon cœur battait vite, j’étais essoufflé. La musique me tuerait, je pense, je mourrai naturellement, non ? L’air qui émanait du sol me faisait du bien, j’avais ni chaud ni froid, je me sentais tellement bien là, seule au beau milieu du silence. J’aurai aimé qu’il fasse nuit, que ce soit nocturne. Ma musique aurait été plus jolie à la lueur de la lune, c’est ce que je pensais. Un charmant jeune homme vint à ma rencontre, du moins, c’est moi qui lui avait posé une question avant même qu’il me voit, en fait j’avais je pense un petit don en ce qui concernait de ressentir les présences. C’était étrange et je le savais, je l’étais un petit peu je pense. Je lui envoyai un sourire, il était doux et mélancolique. Rien ne pouvait plus me faire plaisir que quelqu’un qui apprécie m’entendre jouer. Ca me fit sourire, ça me faisait étrangement du bien.

    Une aura de plaisir m’enveloppa, je me levais directement du banc. Je déposais avec précaution mon violoncelle, je ne désirais pas l’abîmer. J’ébouriffai ma robe ainsi que les frou-frou qui ornait quelques parties de cette œuvre que je portais. Je passais ma main sur mon ventre plat, j’étais vraiment très mince, beaucoup trop, même.
    Je le regardait, les yeux scintillant, rien ne me faisait plus plaisir que de jouer d’un tel instrument et une telle mélodie ~ Soit, je me concentra sur mon interlocuteur, l’air un peu perdue, je le dévisagea. Il était charmant, mais un truc clochait chez lui ? Je le regardais maintenant de la tête aux pieds, essayant de trouver LE défaut, et apparemment c’en était pas un. Mon regard s’illumina, comment ne pouvais-je pas apprécier quelqu’un qui, dans sa main, tenait un petit carnet de dessins ?

    « Oh ! Vous dessinez ? »

    J’appréciai toute forme d’art, que ce soit de l’écriture au dessin, que du cinéma à la musique. Je l’admirai, et je ne savais pas pourquoi. Je trouvais ça bien un homme qui dessine, c’était vraiment quelque chose que j’aimais. Alors, je m’approchai de lui, laissant mon violoncelle non loin de moi et assez près de mes yeux pour le surveiller – bien qu’il n’ait eu personnes – j’avais envie d’admirer ses œuvres ; J’essayai de jeter un œil, mais je ne pouvais rien apercevoir. Je me trouvais d’un coup très peu polie, je n’étais pas du tout un exemple mais pourtant, mes joues rosèrent et je m’inclina devant lui, la silhouette totalement souple, telle une ballerine russe. Mon visage se tordait, et un sourire sincère se déclara sur ma peau porcelaine.

    « Ravie de vous rencontrez, je suis mademoiselle Ishihara. Enchantée de faire votre connaissance, je suis en troisième année, en musique plus exactement dans la catégorie Piano. Et non le violoncelle. »

    Mon visage était neutre, même si je souriais on pouvait y distinguer une tristesse profonde. Un petit rayon de soleil vint s’abattre entre les branches et les feuilles des arbres, ce rayon illumina une trace transparente sur la joue de celui-ci. Avait-il versé une larme pour la mélodie que j’interprétais ?
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