Demande de partenariat

Vienvenue sur Yuri-Gakuen

Vous etes une jeune fille, vous vous retrouvez dans un pensionnat juste de jeunes filles, le corps enseignant est composé aussi uniquement de femmes pourquoi cet institut enfin école me direz vous ?


Il y a longtemps dans une école mixte, quand les garçons et les filles étaient pour la premiere fois ensemble, dans une classe Makoto Kira était petite les cheveux court brun elle portait une chemise blanche et une petite jupe bleue, des collants blancs et des chaussures noires, elle portait aussi de grosse lunettes , étant premiere éleve de la classe elle subissait beaucoup de moqueries de tout les éleves elle n'avait pas vraiment d'amis en ces temps là, les garçons la tapait et les filles se moquaient d'elle. La jeune fille se promit alors de se venger....
Ce qui la fit sortir de toutes ces moqueries fut qu'elle grandis et qu'elle changea radicalement de style : son corps changea, il évolua, les années avaient passées elle était en 1 ère au lycée, les cheveux plus longs et la chemise un peu ouverte ce qui laissait voir un magnifique décolleté, une petite jupe et toujours des collants blancs et des chaussures noires, elle était ceinture noire de karaté et dès que les jeunes adolescents s'approchaient d'elle pour obtenir quelques chose, ils se retrouvaient bien souvent au sol pliés en deux.

Le temps passa elle fut diplomé, pendant ses études à la fac elle rencontra une jeune fille plutot jolie et assez attirante car oui comme elle détestait les hommes pour ce qu'ils avaient fait, elle préférait désormais les filles.
La jeune femme Makoto, se rapprocha au fil des études de cette jeune fille, assez mystérieuse elle s'aimerent pendant longtemps jusqu'a ce que celle ci déménage, Makoto finit enfin ses études et créa alors une grande école, la plus grandes des écoles de filles du japon.
Grâce à ses études elle vécue pendant longtemps d'heureuse année, jusqu'a ce qu'elle quitte enfin cet agréable monde, sa cousine Nui Talayo reprit aprés de longues procédures le dit pensionnat qu'elle gererait du mieux qu'elle pourrait.

L'histoire se déroule
au même rythme que notre vie de tous les jours. Dans une école
assez spéciale ou les élèves ne peuvent
divulguer leur classe sociale. Les gens doivent se couper de tout
pour ce construire une nouvelle vie. Les élèves peuvent
rester jusqu'a leur dernière année d'études
supérieures. L'école accueille tout les élèves,
quelle que soit leur section, de l'artiste au chercheur. L'école
change d'endroit tous les 6 mois. Une fois en Italie et une fois au
Japon.
Tout ce que veut cette école
c'est donner un avenir aux élève. Mais en faisant
cohabiter des gens avec de si grandes différences, et de pays
différents (car elle accueille les élèves du
monde entier). Pourront-ils vivre ensemble ou se déchireront-ils
? Entre romance, amitié, haine et violence. Pendant ce temps
l'école vit dans son monde et le monde entier vit sans savoir
que dans cette petite école, naîtront les gens qui vont
construire leur futur. Comment cette école va t-elle évoluer
? Comment les élèves vont-ils vivre dans cette prison
dorée ? Et quel est le but caché de cette
école?

"Haruhi Suzumiya est une lycéenne excentrique, la tête pleine de rêves et ne s'intéresse qu'aux trucs bizarres. Elle ne se doutait en aucun cas qu'elle possédait le pouvoir de modifier le monde, et n'en est toujours pas consciente. Si elle venait à s'ennuyer de ce monde, il serait détruit. Elle crée avec l'aide de "kyon", la "brigade SOS". Chaque membre que Haruhi a recruter, excepté Kyon, son doté de pouvoirs surnaturels, sont des voyageurs du temps, ou encore des espers. Mais ça, elle l'ignore totalement."

Située à 25 km de Séoul, dans le ville de Suwon, l’université de Shenwa est le genre d‘université privée qui se couvre de gloire depuis plus d’un siècle. Les étudiants y entrent suite à un examen des plus ardus et la moitié d’entre eux abandonnent en cours de route tellement le niveau est élevé. En bref, une université sans grande histoire qui ne fait parler d’elle qu’aux examens terminaux quand ses étudiants décrochent des emplois clé dans l’économie ou la politique coréenne. Mais si Shenwa n’a jamais traversé de périodes de crise pendant plus d’un siècle, les choses ont bien changés il y a quelques temps maintenant…

Tout à commencé il y a de ça un an ou plus précisément, tout à commencé quand le corps d’une étudiante transférée à été retrouvé sans vie dans une salle de classe. Hoshino Masami était une jeune fille comme toutes les autres jeunes filles, a ceci près qu’elle avait la fâcheuse tendance de fourrer son nez dans tout et n’importe quoi. Aurait-elle payé ce trop plein de curiosité ? Elle semblait pourtant s’être très bien intégrée dans ce nouvel univers et était devenue rapidement populaire. Que s’est-il donc passé ce jour là ? Les policiers ont longtemps essayés de trouver la réponse à cette question. Masami se serait-elle suicidée ? As t’elle été tué par un professeur ou un camarade ? Pourquoi son corps à été retrouvé dans une pièce fermée de l’intérieure ?

Autant de questions sans réponses qui ont fait naître les soupçons entre les élèves. D’un côté, il y a cette petite bande d’étudiants transférés en même temps que Masami, des étudiants tous très proches d’elle. De l’autre, il y a ceux qui ne les approchaient pas, ce groupe de garçon qui se méfiait de Masami et de son attitude de journaliste comme de la peste et enfin, le commun des étudiants, tous liés de près ou de loin à cette langue de vipère qui ne se faisait pas prier pour parler de leurs petits secrets. Car oui, Masami était aussi ce genre de fille, un fille qui fourrait toujours son nez dans les affaires des autres et qui les exposaient allègrement dans le journal de l’établissement…
Aurait-elle approché de trop près les secrets les plus noirs de la jeunesse coréenne ? Car le saviez-vous, si Shenwa est une école sans histoire, il n’en est pas de même pour les étudiants qui en parcourent les couloirs…

Imaginez un
établissement reconnu dans le monde entier, financé par les plus
grosses fortunes du Japon. Un établissement fait dans le luxe et la
classe, tellement riche que l'on peut se voir dans le parquet, que l'on
mange à la table des plus grands chefs asiatiques. Vous savez, ce genre
d'établissement desquels on ose à peine rêver. Ceux que l'on voit dans
les dramas et où évolue la crème des crème de la société japonais.
Avez-vous du mal à croire qu'un tel endroit existe vraiment ? Voici de
quoi vous prouvez que rêver est permis.

Bienvenue à la Okinawa
Arts University, également appelée Namida No Yume ~ Larme de Rêve. Un
nom bien poétique et qui pourtant cache bien des vérités. Ici, on dit
que vos rêves les plus fous peuvent devenir réalité, cependant
seulement quelques jeunes ont la chance de se voir accepter dans un
pareil établissement. Il n'y a aucun examens d'entrée, aucune loterie,
rien de ce genre, ce sont les directeurs eux-même qui fouillent l'Asie
à la recherche des perles rares de demain. Il arrive parfois que des
occidentaux y entrent également, mais uniquement s'ils sont promus à un
bel avenir. Bien sûr, cet endroit est célèbre dans le monde entier,
mais on le regarde de loin, comme un monde inaccessible.

Mais
croyez-vous vraiment que cela est aussi simple ? Qu'il suffit de
claquer des doigts pour devenir une star adulé de tous ? Non, loin de
là, c'est au prix de ses larmes que les quelques étudiants de
l'établissement tiendront le coup. Des professeurs sadiques, des
entrainements tous plus dure les uns que les autres et des horaires à
coucher dehors. Heureusement qu'ils ne sont pas enfermés dans
l'établissement, sinon sans doute seraient-ils déjà devenus fous. Grâce
au ciel, durant leurs jours de repos, ils peuvent sortir et profiter
des plages paradisiaques d'Okinawa, fréquentant ses habitants.
Néanmoins, entre la plage et les salles de classe, il règne une
certaine forme de compétition entre les élèves...

L'orphelinat est devenu depuis l'année 1971 un lycée. Sa directrice, une jeune femme du nom de Fusae Shizui a repris les rênes. Oui, c'est elle, la responsable innocente du feu et l'une des survivantes. Dans son regard, la douleur et la culpabilité sont toujours présents. Pour l'honneur de ses camarades disparus, avec l'aide de Nakizawa Sanzô et Hattori Harumi, elle a la ferme intention de faire de ce lycée l'un des meilleurs qui soit. Mais pour leurs rêves... Oublions les mathématiques, la littérature, l'anglais bon enfant que l'on nous enseigne, dit-elle. Je veux que les élèves qui viennent ici soient l'élite dans leur domaine, leur passion qu'ils ont depuis leur plus jeune âge.