Kyôsô no Gakuen
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 [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio

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Nakamura Naara
Oshare Sensei
Nakamura Naara


Masculin
Nombre de messages : 3206
Âge ~ Année : 27 Hivers. Bientôt 28... Et j'ai pas de cheveux blancs !
Activité : Je suis votre Sensei de Mode. J'attends d'excellents résultats, cher amis~ 
Sexualité : À vous de le découvrir. N'est ce pas excitant comme perspective ?
Humeur : Ras le bol.
Situation : Est ce que j'en ai vraiment une ? Posez-vous la question.
Topics : Complet, désolé Chou ♥

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MessageSujet: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeMer 7 Oct - 20:34

      [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio 6ed1ec4e4a54709d5343d72de27d5b0220091005192211
        « Want you ME in your bed ? I am your Oshare Sensei. »


    J'appuie sur la pédale de frein et tourne le volant. La voiture s'arrête, je bloque les roues. Je détache ma ceinture de sécurité et me masse les épaules. J'aurais dû mieux régler mon siège... Résultat, me voilà avec un mal de dos signifiant. J'oublie toujours de le faire, mais heureusement, ce mal ne dure jamais plus de quelques minutes. À vingt sept ans d'existence, il serait peut-être temps que je bouge un peu mon cul et mes habitudes... La vie est si monotone ! Enfin, j'ai eu le loisir de ne plus penser cela. En effet, depuis deux semaines déjà, je connais Yuu, mon jeune amant rencontré à la bibliothèque le soir de ma rentrée. Les circonstances sont peu souhaitables, il a découvert qu'il était atteint de leucémie, mais j'ai promis de faire tout en on pouvoir pour le sortir de là.

    Et voilà que je rêvasse à hier soir ! On a passé un peu de temps dans ma voiture, après sa séance de chimiothérapie où je le conduis tous les soirs. Je crois que je commence réellement à tomber amoureux de lui... Malgré mes petits écarts avec Matsue, par exemple. Personne n'est parfait, et j'espère que Yuu n'apprendra jamais mes tendances euh... extérieures. Le perdre est pour moi inimaginable. Je rêvasse. Son visage, son corps, nos conversations, nos rires, notre complicité naissante. Je n'ai rien dit, la vie est un vrai bonheur !

    Allez hop, il est temps de sortir de là. J'ouvre la portière droite et sors de l'engin, manquant de me cogner contre le haut de la porte. Je me comporte comme un idiot dès que je pense à Yuu. Il faut que je me contrôle plus que ça... S'il passe un jour dans mon cours pour je ne sais quelle raison, cela risque de virer à la catastrophe. Et je n'ai pas envie de le perdre comme ça a faillit le faire le lendemain soir de notre rencontre. D'accord, d'accord... Je dois me concentrer sur autre chose.

    Oui, après tout. Que suis-je venu faire ici ? Et bien je suis professeur voyez-vous, et j'enseigne. Mon métier de base, c'est styliste, mais enseigner la « mode » n'est pas mal non plus. Je m'y habitue et je dois dire que cela me plaît beaucoup. Aujourd'hui, j'ai deux heures de cours cet aprèès midi, et rien ce matin... C'est étrange à mon avis, ils ont décalé le cours à jeudi, c'est à dire dans deux jours, pour je ne sais trop quelle raison. Pour faire la grasse matinée, sans doute. C'est pas grave, je vais leur donner une tonne de truc à faire pour les motiver ! Et oui, depuis que je suis professeur, je suis de plus en plus sadique hé hé.

    J'entre dans l'établissement et je marche tranquillement jusqu'à ma salle de classe. J'ai tout le temps de me poser, de préparer un peu plus consciencieusement mon cours. Je laisse la porte ouverte. J'ai amené aussi les fringues que je suis en train de coudre - des nouvelles créations par moi - je vais pouvoir les continuer, et ça m'arrange. Comme ça, ce soir, j'irais pas me coucher à vingt trois heures trente parce que je serais en retard sur mon programme de la journée. Ah la la... Je m'attable et sors mes ouvrages. Fil, bobine, aiguille, c'est parti ! Je suis bien installé. Je poursuis mon ouvrage.

    Voilà presque une demi-heure que je travaille lorsqu'un bruit de pas me fait lever la tête. Il y a une personne dans l'encadrement de la porte. Encore lui ? Il ne cesse pas de m'observer depuis vendredi dernier. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est un peu énervant. Je l'ignore et continue de coudre.


Dernière édition par Nakamura Naara le Mer 14 Oct - 9:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeJeu 8 Oct - 1:25

[ Ah tu vois, tu as déjà un amant. Je vais te tromper avec Satoru-chéwi TwT ]



Hold me against you, I don't want to cry.


    Soudain, d'un bond. Il se cloua contre le mur, quel agacement Nakamura-sensei l'avait aperçu. Il respirait fort, les gouttes de sueurs traversaient son front tel des petites larmes, elles descendaient le long de nez et allaient pour certaines dans sa bouche. Ca avait une sorte de petit goût amère et délicat à la fois, il mit sa main devant sa bouche pour éviter de faire trop de bruit. Il déposa son autre main, la droite, sur son ventre qui n'était pas non plus extrêmement musclé mais assez svelte pour lui donner une allure élancé.
    Son regard vagabondait vers la salle de cours où le professeur de mode devait encore l'apercevoir. Il avait beaucoup trop peur d'aller lui parler, d'ailleurs il ne savait pas réellement pourquoi il était là mais lorsqu'il aperçu pour la première fois c'était vers le début de la semaine dernière, il avait questionné une des filles de Kyôso, et celle-ci lui apprit qu'il était Professeur de Mode, il ne comprenait pas ce que ça voulait dire, être professeur de mode... même si il était plutôt stylé, il disait que c'était d'instinct. Il souffla un grand coup et décida de s'en aller lorsque la chaîne qui reliais son pantalon à son porte-feuille s'accrocha dans une poignée de porte, décidément, ce petit Yukio était malchanceux.
    En essayant de décoincer la chaîne son lecteur mp3 tomba sur le sol, l'écran parti en miette, il essaya de ramasser le plus gros mais ce coupa avec un débris de verre.

    « Et merde, faut toujours que ça m'arrive ce genre de conneries ! »

    A ce moment là, il releva la tête vers la salle des cours et s'accroupie pour éviter qu'il ne l'aperçoive, d'un petit coin il regardait cet homme, il ne comprenait pas réellement dans le fonds les hommes qui adorent la mode, même si lui-même aimait être habillé correctement. Justement, il portait un jeans déchiré au genou et delavé, un pull en col V qui tombait sur les épaules et la fameuse chaîne qui s'était accroché à la poignée de porte. Ses chaussures étaient des Doc Martens noir, les lacets étaient noir également et rare soit-il les semelles l'étaient aussi. C'était idiot de ce caché, cet homme l'avait sûrement et certainement aperçu. Alors, d'une grande respiration il se pinça l'arrête du nez et frappa de ses mains fines et douces contre la porte déjà ouverte. « Arrête tes conneries, Yukio ! Pourquoi t'espionne ce mec de toute façon. »
    Désormais, il devait trouver un détail, LE détail qui expliquerait sa présence depuis presque une semaine. D'un air timide et doux, il s'avança dans la pièce. Aux premiers abords, il ressemblait à tous les autres élèves, il était beau, mince mais pourtant pas très grand, il était le favoris des filles et les collectionnais, en fait, il avait un air superficiel tout simplement ! Il ressemblait à un p'tit merdeux sans cervelle alors qu'il cachait au fond de lui une grande sensibilité.

    « J-je... excusez-moi Nakamura-sensei. Je... je ne vous suit pas ! E-en fait j-je... »

    Il ne savait pas quel excuse trouvez, mais il était dans une sorte d'atelier de mode, qu'est-ce qu'un athlète foutait là, de toute façon ?! Il se mit à rougir par la gêne, il essuyait avec le haut de sa main les petites gouttes de sueur qui coulaient. On pourrait y voir ces quatre ou cinq bracelets s'entrechoquer, un petit sourire s'échappa de son doux visage. Il regarda avec insistance le professeur et enchaîna alors que celui-ci n'eut le temps de répondre à sa précédente phrase. Ce n'est pas bien de mentir, ce disait-il, certes ! Mais là, il en avait besoin car lui-même ne savait pas pourquoi il se fourrait dans cette histoire.

    « Je ne suis pas un de vos élèves, je suis... Tôda Yukio en deuxième année d'Athlètisme, je pense que vous avez déjà entendu parlé de moi, r-récement j'ai reçu la médaille du meilleur espoir masculin *Pourquoi tu lui raconte ça, crétin ?!*, vous devez vous en foutre, je sais. V-vous... devez vous demandez ce que je fiche ici mais, en réalité j-je suis là pour... un conseil de mode ! »

    Il allait presque rire à ce qu'il venait de dire. Lui ?! Avoir besoin d'un conseil de mode, non. Il n'avait jamais eu besoin de personnes, il s'habillait de façon simple mais élégante, même si il y rajoutait une touche rock surtout au niveau de ses bijoux. Il souriait d'un air un petit peu gêné et niais à la fois, il s'excusa de nouveau et fit une petite révérence, ses cheveux qu'était mi-long cachait un peu son visage, il avait cette sorte de franche qui même donnait un petit air coquin et mystérieux.
    Il passa ses mains dans ses cheveux décoloré, il gratta l'arrière de sa tête durant une demi seconde, mais ce souvint alors que sa main saignait, ça ne devait pas être très grave mais ça lui faisait tout de même mal, peut-être qu'un bout de verre était resté dans la paume de sa main. Il pensa tout de même que l'homme qui se trouva devant lui était vraiment très beau et masculin, c'était un rêve de ressembler à ça. Son visage était fin et agréable à regarder, sa peau devait être douce pensait-il. Douce ?! Pourquoi se posait-il cette question stupide ? Cela dit, l'odeur dans la pièce était agréable, un parfum doux et brute chatouillait l'odorat de celui-ci, il le trouvait agréable. Yukio était plutôt du style à porter des parfums comme ceux pour homme d'Issey Miyake, il adorait ces senteurs là. Il mit ses mains dans les poches, il voulu repartir et c'est sûrement ce qu'il allait faire, un peu de sang transperça alors son jeans, il sera la poing pour que le sang "ne coule plus", même si ça ne marcherait pas.

    « J-je... râh ! Puis non. Laissez tomber, je vous prie de m'excuser ! »

    Il tourna sur ses talons et sorti de la pièce, arrivé dans le couloir il se mit à marcher très vite pour ensuite courir et s'enfuir.
    Arrivé au bout du couloir, il se plaqua contre le mur et sorti un paquet de cigarette, il le fit tourné dans sa main, c'était des Marlboro Menthol. Le paquet était blanc et vert, il ne pouvait pas fumer dans le couloir, alors il lança en l'air le paquet, songeur.

    « C'est pas possible d'être aussi con que moi. Qu'est-ce qui m'prends de mater un mec moi. »

    Il parlait à voix haute, espérant que personnes ne l'entendent. Cela dit, sa voix n'était pas assez audible tout de même car, malgré tout, il parla dans sa barbe. Il continua à jouer avec son paquet de cigarette, il faudrait vraiment qu'il arrête de fumer. Athlétisme & Cigarettes ne font pas bon ménage. Sa main ensanglantée laissa sur le sol des gouttes d'un rouge vif, un rouge passion presque, comme une rose rouge.


[ Il est tout pourri mon RP, sorry. TvT ]
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Nakamura Naara
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeVen 9 Oct - 8:50

    Finalement, il s'était décidé. J'hausse mes sourcils arqués en le voyant entrer. Il déboule comme une furie et paraît avoir perdu toute notion de langage pendant une minute. Immobile et mon regard noir fixé sur lui, j'attends. Je me demande ce qu'il me veut... Il a presque l'air d'un espion, cet idiot. Je vois le genre de personne : un beau gosse qui se la joue et essaye de se taper le plus de personnes possibles. E l'occurrence, de filles... En tant qu'homosexuel, j'ai du mal à accepter cette possibilité. Je renifle de dédain, mais il me prend de court, débitant un monologue à toute vitesse.

      « [... ] V-vous... devez vous demandez ce que je fiche ici mais, en réalité j-je suis là pour... un conseil de mode ! »
      « Je vois ça. »


    C'était ironique. Je ne suis pas dupe, je sais reconnaître un mensonge quand j'en entends un... Merci à la vocation de professeur ! Je pose mon ouvrage et m'apprête à lui faire un petit discours bien senti. Pas méchant, non... Je suis convaincu qu'il ne me veut aucun mal et qu'il cherche juste... Euh, je ne sais pas. En fait, il faut que je lui pose la question. J'allais me lever, lorsqu'il me jette « J-je... râh ! Puis non. Laissez tomber, je vous prie de m'excuser ! » et s'enfuit comme un nain en perdition. Je dis « nain » parce que je dois faire au moins une tête de plus que lui. Je suis assez grand, pour un Japonais.

    Je me relaisse tomber dans mon fauteuil. En voilà, un drôle de gigolo ! Et je dois aller à sa poursuite... En avant, Naara. Je veux savoir pourquoi il me reluque avec tant d'insistance, ce cher Tôda Yukio. On ne se connaît pas. Enfin maintenant un tout petit peu, mais rien de prometteur ne s'affiche au programme pour le moment. Comme j'ai chaud, je retire ma veste, laissant découvrir un espèce de débardeur noir moulant, enliassé sur tout le devant, laissant découvrir au monde mon torse. J'ai des épaules assez « baraques » comme dirait mon deuxième frère ainé. En bref, je suis plutôt bien foutu. Oui, oui, l'ego...

    Je quitte la salle et cherche le petit Tôda. Je mets peu de temps à le retrouver, et mon visage se glace. Je m'approche de lui alors qu'il se marmonne des choses. Je glisse une main dans la poche de mon jean noir et fait taper mes Dock Marteens sur le sol ( on comprend pourquoi je fais moitié peur à ma classe ).

      « C'est pas possible d'être aussi con que moi. Qu'est-ce qui m'prends de mater un mec moi. »
      « J'aimerais bien le savoir aussi. »


    J'attrape au vol le paquet de cigarettes et l'écrase dans ma main. Je siffle entre mes dents, traduction : pas de ça devant moi. Je me poste près de lui, mes yeux noirs brillant de curiosité contenue. Je me rappelle qu'il s'est cogné ( quel imbécile ! ) et j'attrape sa main. Je tire un mouchoir de ma poche et entreprends de nettoyer la blessure. Puis j'enroule le morceau de tissu autour de son doigt pour arrêter le saignement. Il faudra mettre un pansement, mais je n'ai pas besoin de lui dire, il le sait pertinemment. Et merde, il y en a par terre ! Je suis bon pour le ménage. Je ne lâche sa main qu'après quelques secondes.

    Un peu de temps s'écoule, durant lequel je l'observe sous toutes les coutures. Je le reluque, quoi... Il est vraiment pas mal, tout à fait mon genre de mec. Je me secoue intérieurement - Yuuuuuuuuuuuuu ! - et me concentre sur ce que je voulais faire.

      « Alors, pour quelles raisons tu me suis ainsi depuis la semaine dernière ?
      Je dois avouer que c'est intriguant... Je suis curieux, Tôda-kun.
      Ah ! Je ne me suis pas présenté : Nakamura Sensei, le professeur de mode.
      »
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeSam 10 Oct - 20:35


    « Alors, pour quelles raisons tu me suis ainsi depuis la semaine dernière ?
    Je dois avouer que c'est intriguant... Je suis curieux, Tôda-kun.
    Ah ! Je ne me suis pas présenté : Nakamura Sensei, le professeur de mode.
    »


    Pour quelles raisons ? Ça, c'était une question bien compliqué. Yukio lui-même ne le savait pas, il regarda de tout les côtés cherchant en vain une petite excuse, il tripota anxieusement ses cheveux et fit un petit regard de travers au professeur. Pourquoi le regardait-il ainsi ? Durant un petit instant, les rouges du jeune homme se mirent à rougir comme des petites pétales de roses. Sentant ses joues chauffé, il tourna la tête, gêné. Il n'arrivait pas à répondre et n'arriverait sûrement pas à répondre à de tel questions. Tout d'abord, il n'était pas du tout là pour un conseil de mode et ça, c'était déjà fait. Ensuite oui, il était plutôt là pour reluquer inconsciemment, d'ailleurs le fait que le professeur lui prenne son paquet de cigarettes pour les écraser ne lui déplurent pas, au contraire il devait vraiment arrêté car plus ça allait, plus il avait du mal à courir parfois. Il buvait un peu mais en cachette car il n'atteindra que la majorité à 20 ans.
    Ses yeux se posèrent sur ceux de l'homme qui se trouvait devant lui, il le regardait d'un air étrange comme si il le regardait comme quand Yukio fait lorsqu'il regarde une femme.
    Il ne devait pas se mentir, OUI il matait ce mec, c'était sûrement une de ses folies passagères, sûrement en mal d'amour. Il cherchait l'amour justement, mais où ?

    « Je ne sais pas si vous me connaissez mais j'ai la réputation du beau gosse qui se tape toutes les filles. Et c'est vrai, mais... j'ai des doutes en ce moment. J'en ai marre des filles, elles m'harcèlent ! J-je... »

    Non, il n'allait quand même pas lui dire qu'il se sentait attiré ?! Si. Yukio soupira et posa l'une de ses mains sur son ventre, il le frotta comme si il avait mal alors qu'un gros nœud était noué à l'intérieur. Il sourit d'un de ces sourires tombeurs et regarda la main qui avait été blessé. Il murmura un doux « Merci » tout en lançant un regard au professeur. Il pensa tout de suite qu'il aimerait passer une nuit avec un homme, juste pour voir se disait-il. Il n'aurait jamais pensé à des choses comme ça il y a six mois même si auparavant il a déjà eu des aventures d'un soir avec quelques garçons, lorsqu'il avait 16 ans. En une nuit même, il avait couché avec une jeune femme et un jeune homme deux heures et demi après.
    Il pencha la tête sur le côté et se redressa un peu, il n'avait pas un corps de rêve et n'était ni aussi bien foutu que le bel homme devant lui mais il était vraiment charmant, très très charmant.
    Il s'approcha d'un pas lent près du professeur et voulu lui toucher le bras quand de marbre, il laissa retomber son membre contre sa hanche. Il se tint justement celle-ci pendant qu'avec son autre main il caressa sa lèvre inférieur.

    « En fait... je pense que je lui là car j'ai envie d'essayer. »

    Yukio était franc et ça se voyait. Ce n'était pas la chose à dire aux premiers contacts, loin de là ça ne le perturba pas. Allez, soit un peu dévergondé et assume ! Ça, c'était un fait mais après il ne manquerait plus que passer à l'acte. Ses chaussures faisaient du bruit, ça raisonnait dans le couloir. Tout en réfléchissant à sa manière d'amadouer un homme aussi grand et beau, il s'avança lentement vers la salle des cours de mode et s'installa à une table dans le fond près de la fenêtre, son regard se plongea dans la contemplation du paysage extérieur, ses yeux devinrent de couleur miel presque dorée. D'où il était il espérait entendre les pas du professeur, à cet instant une vision dans quatre petits écrans de sa mémoire parvinrent.
    Dans la première, il y voyait Nakamura-sensei lui foutre une gifle, dans la deuxième il se voyait fuir contre son désir, dans la troisième il se voyait coucher avec lui rien qu'une nuit et dans la dernière il se voyait, Nakamura-sensei et lui se voir en cachette et couché à chaque fois ensembles. Il secoua sa tête, non ! Les deux dernières ne devait pas arrivés, après tout ! Il n'aimait que les femmes. Officiellement.

    « Désespéré par la vie n'est pas une phrase pour moi, Ayano. Oui, j'en ai envie, et alors ? Tu ne me jugera jamais, petite sœur. »

    C'était inaudible, il aurait fallu se coller près de lui ou avoir une bonne ouïe pour entendre ce qu'il venait de dire.


[ Désolée Naara-chéwi TwT c'est tout pourriiiiiii ~ Mais j'ai du mal avec le fait que Yukio soit dragueur, vu que ce n'est pas une partie de ma personnalité j'ai besoin de plusieurs postes pour me plonger mieux dans ce contexte là et argumenter, m'en veut pas *se cache pour pas se faire taper* >.< j'en ferais des plus gros ! Je m'améliorerai. ]
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Nakamura Naara
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeSam 10 Oct - 23:15

    Je croise les bras. L'index de ma main droite se faufila entre les lacets de mon débardeur et jouait avec. J'aime ce vêtement, je les conçu moi-même. J'avais longtemps apprécié ces chemises et ces T-shirts enlacés sur le haut ; j'avais décidé alors d'appliquer cet enlacement sur tout la longueur. Magnifique résultat, à mon avis. Et tout en noir, avec ma peau blanchâtre, je trouvais l'effet saisissant. Oh oh, encore une fois, je me laisse emporter par ma passion. J'exagère... Je suis en pleine conversation (enfin je n'ai pas dit grand chose jusqu'à maintenant) et euh... Voilà quoi, ce n'est pas poli. Enfin, à peine. Tôda-kun ne sait pas ce que je pense de toute façon.

    Tôda-kun me fixe avec un regard que je qualifierais de... d'étrange. Enfin, venant d'un tombeur de filles... Sachant que je supporte très mal les filles, je n'arrive pas à comprendre comment on peut coucher avec. Après bien sûr, chacun ses préférences. Pourtant, je ressens une curieuse sensation en moi, lorsque nos yeux se croisent. Je détourne légèrement la tête, pour ne plus rien ressentir. Je sais faire l'homme au coeur de métal ; à la base, c'est moi.
    Mes pupilles se dilatent lorsque j'entends ces paroles... Encore plus à la dernière phrase. « ... J'en ai marre des filles, elles m'harcèlent ! J-je... ». Un ricanement s'échappe de ma gorge et je fronce les sourcils. Je secoue doucement la tête. Et lui, il ne fait rien pour les éviter j'imagine ? J'ai un petit pincement de coeur à cette pensée. Allez savoir pourquoi... J'ai des sentiments qui réagissent bizarrement.

      « Hm. Tu ne fais rien pour les éviter, j'imagine ?
      Je ne vois pas ce qu'il y a de plaisant chez les filles. Elles gloussent, se trémoussent et se conduisent comme si le monde allait s'écrouler dès qu'elles ont perdu leur portable. Elles nous harcèlent.
      Et après on me demande pourquoi je préfère les hommes.
      Je te laisse cogiter ceci... Tes doutes s'effaceront peut être
      . »


    Je m'adosse de côté au mur, après l'avoir soigné. Ses sourires me laissaient de glace, car je doutais de leur sincérité. Je ne fais pas facilement confiance aux gens... Enfin, aux dragueurs comme lui. Ce sentiment changera probablement plus tard, je ne sais pas.
    Je plisse subitement les yeux, et mes sourcils déjà arqués s'arquent encore plus (caractéristique chez les Nakamura ; mes quatre frères et moi avons les sourcils noirs, fins et arqués). Il s'approche, très lentement. Je crois que Tôda-kun s'apprête à faire quelque chose. Il hésite, abandonne. Tant mieux, ça m'évitera d e réfléchir à comment réagir. Quoique... Mais qu'est ce qu'il fait ?!
    Il est en train de me caresser la lèvre inférieure. Mmh... Pas désagréable. Mais... mes pensées se tournent soudainement vers Yuu. Je ferme les yeux... L'instant d'après, je suis re-concentré sur la situation actuelle. Et quelque peu démuni.

    « En fait... je pense que je lui là car j'ai envie d'essayer. » Quelle phrase « aguicheuse », n'est ce pas. Je ne bouge pas, je ne fais rien. J'attends que quelque chose d'autre se passe, quoi, je n'en sais trop rien. Tu parles, il passe à côté de moi et s'éloigne. J'entends le bruit de ses pas qui s'éloigne ; je tends l'oreille ; oh, il est rentré dans ma classe. C'est bien ma veine.

    Je tape du point contre le mur. Que penser ? Je tape mon front contre le mur. Comment réagir ? Je donne un coup de pied dans le mur. Merde !

    D'un pas hésitant, je retourne dans ma salle de classe. Tôda-kun est assis à une table près de la fenêtre, et contemple le paysage. Je reste dix secondes à l'observer... et je claque la porte. Je n'ai pas envie qu'on surprenne notre conversation, c'est déjà assez risqué avec Yuu.
    Yuu. Je m'immobilise en plein élan. La culpabilité m'envahit... Je crois qu'il faut que j'arrête de penser. Je pense trop. Mais je l'aime...

    J'accélère pour chasser ces pensées de mon esprit. Je viens m'asseoir sur la table de Tôda-kun, et m'adosse au pan de la fenêtre. Je n'ai pas entendu ce qu'il a dit, et je m'en fous. Je relève son menton, et mes yeux sombres l'engloutissent.

      « Qu'attends-tu de moi, petit ? »


    De coucher avec moi, bien entendu. Facile à deviner, avec un idiot pareil. Enfin je ne sais pas s'il était idiot, mais il s'était comporter comme tel.
    Aaaah. J'adore dominer les gens de toute ma hauteur, et je suis largement plus grand que lui. Et puis je me suis posé sur la table alors...
    Évacuant toutes mes pensées négatives, j'approche mon visage de lui, toujours de glace, mais avec un regard brillant. Je mordille mes lèvres d'une certaine façon. Uhu.
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeDim 11 Oct - 14:18


    Pourquoi agissait-il ainsi ? Caresser les lèvres d'un homme, il l'avait déjà fait, il avait déjà couché avec un homme également mais de là, suivre un professeur c'était bien une des choses les plus débiles qu'il avait pu faire à ce jour. D'un petit air vague, d'un regard totalement vide il plongea ses yeux dans celui du prof' ne laissant pas apparaître ses sentiments. Lorsqu'il lui souleva le menton, des frissons parcouru le dos de Yukio, il regarda plus amplement celui-ci... son débardeur était ravissant, très sexy même. Les petits enlacement mettait en valeur cet homme et ça il ne le contredirait pas cela dit, c'était un vêtement unique et original il n'avait jamais vu ça dans un magasin du moins. Mais ils ne s'habillaient pas pareil donc il supposa qu'ils avaient pas les même goûts.
    Il vint s'asseoir près du jeune homme, il se sentit gêné. Mais une question titilla son esprit, qu'attendait-il de Nakamura-sensei ?
    A vrai dire, il n'en savait rien non ? Il sourit doucement et ricanna pour dire simplement.

    « Peut-être parce que vous me plaisez. Mais vous avez raison en ce qui concerne les femmes, je ne les supportes plus. »

    Dans son coeur, il n'était pas ce genre de garçon p'tit con, dragueur et gâté. Il cherchait constamment une personne qui l'aimerait pour ce qu'il est et pas pour l'acteur. Il posa sa main sur la cuisse du bel âtre, il n'essaya pas de la monter ou quoique ce soit, il la posa de sa main légère et grande, douce et affectueuse. Il regarda intensément le professeur de mode et sorti d'un petit air interrogateur, il se tenait le bas du ventre, comme si il avait mal mais pourtant aucune douleur ne le parcourait.

    « Vous avez les yeux d'un homme amoureux. »

    Il soupira et retira sa main de la cuisse de Naara, il s'étira et soupira un petit coup avant de se lever de la chaise. Il vint se poster près de celui-ci et tripota une mèche de cheveux. Il reposa sa main sur la cuisse - à croire qu'il apprécie ça - et soupira de nouveau et toujours, il éclata de rire. Et se cacha de sa main qui caressait la mèche de cheveux son visage fin et long, d'un petit sourire ironique, une légère larme roula sur sa joue, elle vint terminer sa vie dans la bouche de celui-ci. Elle avait un goût amère et douce à la fois, un peu sucré et salé.
    Oui, à cette instant il avait envie d'embrasser cet homme qui en avait rien a foutre de lui et pourtant. Il ne voulait pas que ce soit brutal ou que ça dur qu'un après-midi ou qu'une soirée.
    Il s'en alla près des fenêtres de la classe et y baissa les stores pour que personne ne puisse les voir, d'un coup, en se rapprochant de nouveau du professeur il entendit des pas qui s'arrêtèrent près de la porte alors il se mit à discuter de "mode" même si il n'y connaissait pas grand chose, mais la personne s'en alla très loin. Son souffle était incorrecte presque essouflé, il posa sa main sur celle de Nakamura.

    « Vous devez vous dire que je ne suis qu'un sale gosse de riche, petit con à souhait qui baise toutes les filles du lycées non ? Pourtant, détromper vous. J'ai plus de mal que quiquonce, je déteste cet aspect là de moi et je n'ai pas peur de pleurer devant les autres. En fait, je cherche à me détacher de cette image, mais il est trop tard... on n'essayera plus jamais de me "connaître". Je haïs Yuu-kun, comme elles m'appelent toutes. »

    Une larme coula de nouveau, il s'approcha de son professeur et d'un petit geste déposa ses deux mains sur son visage en lui lançant un regard de sincérité. Ses lèvres se déposèrent délicatement sur les lèvres brûlantes de Naara.
    Il se retira doucement tout en laissant parcourir son souffle dans le cou de celui-ci.

    « L'amour est éphémère, mais si alors il est unique même après notre mort il durera. Ne pensez-vous pas ? »


[ J'étais motivée ! OWIII ! Je l'aime ce post. xD]

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Nakamura Naara
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeDim 11 Oct - 16:45

    J'ai l'impression d'être propulsé devant les projecteurs, à faire une scène que je n'avais jamais imaginée. Ce matin, je pensais arriver en tout quiétude et passer une journée des plus normales. Et me voilà aux prises avec Tôda Yukio, un élève que je ne connais pas et qui veut - semble t-il - avoir des relations autres qu'amicales avec moi. Honnêtement, ça ne me dérange pas. Je ne suis pas un homme marié, et je ne suis pas encore totalement engagé avec Yuu - entre nous, c'est relativement compliqué... bref, je n'ai pas envie d'en parler - et je tiens à garder une certaine liberté. Depuis que j'ai l'âge d'être en couple, j'ai toujours refusé de m'engager sur une longue durée ; je crains de me tromper et d'avoir mal. J'en ai déjà un peu parler avec Yuu, mais on n'a pas planché longtemps sur le sujet. On profite du peu de temps qu'on peut passer ensemble d'une autre façon... Je ne vais pas faire un dessin.

    Cela fait seulement quelques minutes que nous avons commencé à parler et je sens déjà que tout va se préciser bientôt. Tôda-kun ne m'a pas l'air timide ; cependant depuis qu'il vient de me dire qu'il a envie d'essayer, je tente de le voir sous un autre jour. Je crois qu'il se dissimule derrière une façade - c'est ridicule, mais tout le monde le fait, moi le premier.
    Il se décida à parler, et je ne le regardais pas. Je ne disais rien, attendant quelque chose de plus concret que l'affirmation de ce que j'avais déjà deviné. Après vingt sept ans d'existence, je suis loin d'être un idiot. Yukio sait pourtant attiser mon attention « Vous avez les yeux d'un homme amoureux. », et un léger sourire s'affiche sur mes lèvres.

    Je reste silencieux. Je me contente d'observer et j'analyse intérieurement. J'étais intrigué par une chose, celle de voir plusieurs larmes couler sur la joue de Yukio. Je crois qu'il souffre de cette non-reconnaissance de lui-même, il doit se sentir intérieurement rejeté, comme si ce qu'il était n'intéressait personne. Je ne suis pas d'accord, je m'y intéresse, moi. Il a le mérite d'avoir du cran, et il va avoir besoin d'aide pour s'affirmer la main. Ce que Yukio veut, je le lui donnerais, mais il devra faire face aussi à ce que j'attends de lui... Le lien doit fonctionner dans les deux sens pour être véritable.

    Le moment de blanc - un ange passeuuuuh ! - me paraît interminable, en cet instant la mode m'est complètement sortie de la tête. Tôda-kun veut me toucher, il trahit la proximité qu'il veut avoir avec moi. Ça ne me dérange pas du tout, même si je reste de glace - pour le déstabiliser. Sa main est posée sur la mienne, je ne la retire pas. J'attends encore. Enfin, pas longtemps. « En fait, je cherche à me détacher de cette image, mais il est trop tard... on n'essayera plus jamais de me "connaître" »... Cette phrase me plaît. Ses paroles sont sincères, son timbre de voix le dévoile, le trahit. D'une certaine façon.
    Aussi je ne m'offusque pas du baiser qu'il m'accorde. Au contraire ! Je suis un profiteur invétéré de ces instants. Aussi, je ne réponds pas à la question qu'il me pose car je n'ai pas de réponse. Et puis j'ai autre chose à dire.

      « Si tu veux devenir toi-même, tu dois oublier le regard des autres.
      Et avec moi, tu n'as pas besoin d'essayer. Fais, tout simplement.
      »


    Je ne lui laisse pas le temps d'ajouter quoi que ce soit. Je relève son menton, et lui vole un baiser. Et puis un autre. Pour finir, je l'embrasse vraiment, mes bras autour de sa taille et lui coller contre mon torse. Ses lèvres sont très agréables... Je me le croquerais bien tout entier. Oui, oui, je change vite d'avis, mais j'ai mes raisons hein. Tout le monde peut le comprendre. Je l'embrasse une dernière fois, dans la pénombre de la pièce, puis le repousse. Je saute de la table et ouvre le store. Je jette un coup d'oeil à l'horloge au dessus du tableau noir et grimace.

      « Il est presque onze heures et demi. C'est fou comme le temps passe vite.
      J'ai deux heures de cours cet après midi et je dois m'absenter juste après pour deux autres heures.
      Je te retrouve ici à six heures ?
      »


    Mes yeux scintillent d'une lueur perverse. Oh, on sait très bien ce qu'on veut. Il peut m'attendre quelques heures, hein ? Ce sera plus intéressant après, l'attente peut provoquer une certaine frénésie qui ne serait pas de trop à mon humble avis. Je m'approche de lui et caresse ses cheveux. Uhu !


[ PS : Si tu pouvais faire ton post en passant les heures jusqu'à leurs retrouvailles... <3 ]
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeDim 11 Oct - 19:02

[ Je ne sais pas si ce post sera correct, mais j'espère que tu parlais de ça. :)
Edit : AH NON MINCE ! Justement, tu ne voulais pas que je parles des heures qui sont passés mais que direct j'évoque à partir de 6h ?! HAAAN. Je suis désolée j'avais pas lu comme ça, pas grave ? :( ]


Caresse moi, embrasse moi. Serre moi contre toi tout simplement.

    Embrassé par un homme était un sentiment que Yukio ne refusait pas, au contraire. Il s'était aperçu que dans bras de quelqu'un du même sexe que lui il se sentait mieux, il pouvait se lâcher et être qui il était. Il aimait le corps masculin tout autant que le corps féminin, la poitrine, les fesses, les joues, les épaules, mais les hommes eux avait d'autres attribue qui ne lui déplaisait pas - oui, "ça" - Il aurait aimé continuer ce long moment de tendresse en sa compagnie mais certes, la vie les avaient rattrapés. Il avait deux heures de cours, ce serait long à attendre. Non ?
    Cela dit, Yukio n'avait pas cours de toute la journée alors il en profita pour se balader en dehors des classes, il traversait les couloirs, ahh ! Il aurait aimé écouter de la musique à cet instant mais fichu journée, il l'avait cassé désormais il devrait s'en racheter un mais ça, ça n'avait pas d'importance.
    Comme une princesse attendant son prince charmant il était presque en sueur. C'était idiot, même avec une fille il n'aurait jamais réagis ainsi, mais il ne pouvait s'empêcher de penser aux baisers de cet homme. A cet instant même, il avait envie de parcourir tout le corps de Nakamura, il désirait l'embrasser, le caresser, le regarder, sentir sa langue, son touché, son odeur ou ses lèvres.
    Il mit une main dans son cou et se tapa la tête de l'autre. Pourquoi penses-tu as ça ? Il n'en savait rien...
    Ce n'est qu'un bel homme professeur de mode, super sexy et attirant voilà tout, mais son envie était sincère. Il s'imaginait sous de beaux draps blancs comme ceux de son lit, le matin au réveille devant le corps nu de celui-ci, sa tête posé sur son épaule.

    Il était jeune, d'ici quelque mois Yukio aurait 18 ans, il pourrait alors sortir avec quelqu'un de majeur - selon la loi au Japon - alors, ce serait idéal. Certes, avait-il envie de penser à ça ? Il voulait seulement être avec quelqu'un, le rendre heureux et être heureux, pas d'engagement, pas de promesses. Surtout du cul, oui. Mais aussi des sentiments car même si il a couché avec des tonnes de filles il avait toujours un petit sentiment pour celle-ci.
    C'est un briseur de cœur, certes.
    Mais, voilà une question. Sa sœur accepterait-elle ceci ? Il ne la blesserait pas car elle n'en saurait rien. D'ailleurs il ne devrait pas en parler à quiconque de ce baiser car oui, Nakamura pourrait se faire renvoyer tout comme Yukio et ça non, il ne le désirait pas.
    En attendant patiemment les six heures, il alla se changer dans sa chambre. Tout d'abord, il prit une douche car un petit peu de marche à pied l'avait fait suer ou plutôt, pensant à Naara l'avait fait transpirer.
    Dans la douche, il ne cessa de penser à celui-ci, il massa ses épaules, lava ses cheveux. Il avait une douce odeur de vanille, il adorait ce genre de senteur.

    Pour sa tenue, il choisi un jeans déchiré au genou comme celui qu'il avait dans la matinée, il accrocha la chainette à son porte-feuille puis à son pantalon, il garda ses Doc noir et mit un débardeur tout simple, noir, montrant ses épaules.
    Il porta un petit bout de parfum à sa gorge, car la gorge était un des endroits les plus sensuelles pour lui... Ow, un baiser de Naara dans sa jolie gorge. Hmm... il en frissonnait ! Il se mit à la fenêtre et fuma une cigarette, Marlboro Menthol. Lorsqu'il fini sa clope, il alla l'éteindre au rebord de la fenêtre presque noir désormais mais avant ça il passa vite fait aux salles de bains pour se laver les dents et avoir une haleine fraiche et douce.
    Il mit son portable dans sa poche et s'en alla.

    Il était précisément 17:55 lorsqu'il arriva dans le couloir qui menait à la classe de mode. Hésitant, il laissa ses chaussures taper contre le sol et s'échappa discrètement vers la salle, les stores étaient baissé. Était-il ici ? Il hésitait, après tout peut-être lui avait-il joué un tour, non ? N'étais-tu pas assez idiot comme ça, Yukio ?
    De ses mains gracieuses et fines il tapa contre la porte, visiblement, elle n'était pas poussé car le petit choque qu'il provoqua la poussa doucement. Il mit le nez en dehors et regarda à l'intérieur... il ne vit personne, il entra et d'une voix sincère et légère.


    « Il y a quelqu'un ? »

    Il se détourna et ferma la porte - à clef - son odeur parfumait la pièce entière, son odeur était masculine et vraiment sensuelle. Ses cheveux mouillés cachait une petite parti de son visage, il baissa la tête et sourit d'une façon très évocatrice, presque un de ces sortes de sourires érotiques.

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Nakamura Naara
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeLun 12 Oct - 20:22

    Je m'étais séparé depuis quelques minutes déjà de Tôda-kun, que j'avais - il faut le dire - pratiquement mis à la porte. Après un dernier baiser langoureux bien entendu. Je m'étais remis à l'ouvrage en attendant que vienne l'heure de manger, et j'ai prix dix minutes pour revoir mon cours. Je suis assez précautionneux quand à la justesse de mes cours et leur qualité ; je veux que ce soient les meilleurs possibles. La suite de la journée se passa rapidement.

    Mes deux heures de cours avec les Musume de mode furent impossibles. Ils étaient surexcités depuis l'annonce du bal d'Halloween et voulaient absolument TOUS se confectionner des costumes ( avec mon aide bien sûr... ). J'ai dû mettre un holà à leurs joyeuses discussions en leur annonçant que leur ouvrage ( un pantalon en toile à décorer avec des fils d'or et d'argent ) devait être terminé pour vendredi prochain. Et comme par hasard, ils n'avaient pas fait grand chose... Je les ai menacé de sales notes et de surplus de travail, je peux assurer que ça les a motivé. Mes chers élèves ont compris dès leur premier cours avec moi que j'avais des exigences... et que j'étais friand de punitions en tous genres. Oui, je suis un peu sadique ! Et alors ? ~ 

    Suite à cela, je suis allé retrouvé mon Yuu qui m'attendait dans le hall d'entrée. Je l'ai conduit à l'hôpital, et je l'ai soutenu durant toute sa séance de chimiothérapie, en lui tenant la main et lui parlant doucement. La séance n'a duré que trois quart d'heures, on a pu se balader un petit un peu ensuite. Puis je l'ai ramené - à contrecoeur - à Kyôsô.... De toute façon, j'avais des choses à faire là-bas. On a traîné un long moment dans la voiture, résultat il était six heures et demi quand nous en sommes sortis. Je l'ai raccompagné et je me suis enfin dirigé à mon rendez-vous. Je suis sacrément en retard.

    J'ai appuyé sur le poignée de la porte : fermé. J'ai sorti mes clefs et ouvert la porte. J'ai pénétré dans la pièce et allumé la lumière. Yukio était assis sur mon bureau, plus beau que jamais. Tiens, il a les mêmes Dock que moi ! C'est sûr, on est fait pour s'entendre. Et plus...
    Je ferme la porte - à clef, bien sûr - et jette mon sac à côté du bureau. Je ne m'excuse même pas pour mon retard. Je me contente de venir l'enlacer et l'embrasser le plus longtemps possible. Après l'avoir lâché, je m'assieds sur ma chaise.

      « Aaah... J'ai bien envie de te laisser encore un peu tranquille...
      Pour que tu bouilles de désir... Ça n'en sera que plus intéressant, ne ?
      »


    Je décide de m'amuser un peu. J'enlève ma veste qui dévoile mes épaules nues, je porte les mêmes fringues que tout à l'heure. Tel un prédateur je grimpe sur le bureau et m'approche de lui. Je sens son odeur fraîche et je descend un peu son haut pour m'enivrer de sa peau. Mes lèvres effleurent son épaule et glisse dans son cou. Je le mordille et le suce. Puis j'attire Yukio en arrière pour pouvoir l'embrasser à ma guise : lui allongé sur la table, moi à quatre pattes au-dessus. Je m'amuse, quoi ! Et je le taquine.

      « Tu sais, je me demande si je ne vais pas t'emmener chez moi.
      On pourra faire tout le bruit qu'on veut <3
      »


    Mais avant ça, je vais l'emmener au restaurant... Pour qu'on puisse mieux apprendre à se connaître <3. Il faut aussi dire que j'ai un tas d'idées pour retarder l'échéance et pour qu'il finisse par me sauter dessus. Uhu (L)
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeLun 12 Oct - 23:56

    Ce n'était pas nécessaire de le faire attendre davantage, il était déjà bien excité rien qu'à l'arrivée du professeur. Il l'avait attendu une demi heure mais l'attente ne faisait qu'amplifier le désir, et rien n'était plus somptueux qu'une nuit d'amour intense. Cela dit le regard noir de Naara ne faisait qu'empirer la situation, Dieu, comment pouvait-il être aussi sexy ? Il se laissa entraîner sur le bureau, désormais sur le dos avec un apollon au dessus de lui, que rêvez de mieux ? <3 Laissant ses mains parcourir le torse de celui-ci, il le laissa également embrasser son cou légèrement mouillé par la transpiration ou l'excitation, même. D'ailleurs, une légère bosse s'était formé là où vous pensez, bande de pervers ~ Leur odeur se mélangeait, s'entrelaçait, c'était une explosion de tendresse. Yukio était entreprenant, il arqua une de ses jambes pour la mettre entre celles du professeur, des petits soupires s'échappa de sa gorge comme des ronronnements, on aurait dit un petit chaton avec ses yeux humides qui suppliaient presque ce dernier. Oui ~ Ça ne lui déplairait pas du tout d'aller chez Nakamura-san, au contraire... peu importe ses gémissements ou ses cris il pourrait se lâcher, faire l'amour et ne pas avoir peur des préjugés ni de son apparence car seule sa performance et sa tendresse compterais, ils pourraient faire tout ce qu'ils voudraient. Owi … ~~ Yukio était très très bruyant au lit, pire qu'une femme.

    « Si vous m'amenez chez vous, je ne saurai pas me retenir... »

    Il laissa ses mains se balader sous le débardeur du professeur, sa peau était tellement douce qu'on aurait envie de la croquer. Sa langue chaude, sa salive délicieuse... mais il y avait un goût autre que SA salive justement. P*tain ! C'était bon. Il en aurait presque crié de joie. Désormais, il voulait guider leurs petites folies, il se redressa et obligea brutalement son professeur à s'allonger à sa place, il était maintenant au dessus de lui, il avait envie d'emprisonner les bras de cet homme et le caresser sans qu'il ne puisse bouger. C'était un petit pervers ce Yukio ~ Il ne l'était pas autant avec les filles cependant. Il s'assit au dessus du bel apollon et l'embrassa fougueusement, excité comme un puce il n'hésita pas à caresser le bas du ventre et les hanches de celui-ci pour remonter jusqu'à sa gorge et la mordiller.

    « J-j'ai envie... de v-vous. »

    Sa respiration n'était pas claire, il était un petit peu essoufflé. Comment ne pas l'être lorsqu'on a la chance d'avoir sous notre sublime corps un être plus magnifique que quiconque dans ce pays ? Il évitait de faire du bruit, de gémir ou de pousser des petits soupires mais là, il était près a se déshabiller et a se donner à corps perdu au professeur si canon. Il lui chuchota des petites phrases plutôt coquine pour finir par un délicieux baiser. A cet instant, il pensait entendre Nocturne Op.9 No.2 de Chopin, n’était-ce seulement son imagination ?


    « N’entendez vous pas de la musique, monsieur Nakamura ? … Il y a encore des gens, à cet heure ? Mis à part vous... »

    Monsieur, il n'osait pas le tutoyer. Et puis, c'était plutôt excitant, non ? Il se redressa et se retira de son professeur, désormais il était debout, le regardant, à moitié déshabiller, un côté de t-shirt qui tombait, le pantalon déboutonné sur le haut - Ah non ! Ça c'était lui qui avait oublié de le boutonné pensa-t-il. Quel idiot... Il s'approcha néanmoins de Naara, il prit sa main pour le faire s'asseoir, il compara la grandeur de leur doigts, il avait décidément des mains beaucoup plus longue mais Naara était déjà plus grand, alors il en conclus que ça devait être pour ça, il prit sa main et déposa les doigts long et masculin de son professeur à la commissure de ses lèvres et commença a embrassé délicatement chaque doigts pour finir par se coller à lui et mettre sa langue au plus profond de sa bouche. Il passa ses bras autour de sa taille et y déposa sa tête sur son épaule, comme un enfant. Il remonta avec ses lèvres jusque la gorge de Naara, il l'embrassait avec ses lèvres mouillés et douce. Son haleine était fraiche, son souffle était brûlant. Tant de tendresse dans son geste, il fit glisser sa main sur le torse du professeur tout en continuant à embrasser ses clavicules cette fois-ci. Sa main descendit toujours et encore, et avec ses doigts il déboutonna le premier bouton du pantalon de son amant. D'un petit air coquin, il ricanna.

    « Je préfère garder le meilleur pour la fin. ~ »

    Hmmm... Son odeur. Ses lèvres s'échappa jusqu'à celle de Naara, il l'embrassa doucement pour profiter de chaque instant de la délicieuse saveur que ça bouche procurait.
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Nakamura Naara
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeMar 13 Oct - 22:18

    Tiens, Tôda-kun est déjà complètement retourné. Déjà ? Décidément, quel petit garçon lubrique... Oh, ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre. C'est mon seul vice : les hommes. J'ai déjà trois amants après seulement quelques semaines... Dont une histoire d'amour, un autre à qui je suis énormément attaché. Je compte Yukio comme amant, entre nous c'est une évidence. Je ne sais pas comment va se poursuivre notre relation après cela : uniquement du sexe ? Honnêtement je préférais également qu'il y ait d'autres sentiments, au moins de l'affection. Je ne couche pas avec quelqu'un totalement au hasard ; s'il m'avait déplu, je l'aurais repoussé direct. Pas très sympa mais nécessaire... J'ai des années d'expériences derrière, hein.

    Ho, ho. J'avais jeté un coup d'oeil là où vous pensez et j'avais remarqué une chose très intéressante. Je m'étonne toujours que tant de jeunes hommes succombent à mes charmes... Espérons que ce n'est pas seulement parce qu'ils veulent se taper des vieux ! Enfin je suis pas vieux, je n'ai que sept ans. Quand même.
    Il m'excite... Ses paroles aussi. « Si vous m'amenez chez vous, je ne saurai pas me retenir... » ! Mais enfin, je ne lui demande se contenir, voyons. Lui comme moi n'attendons qu'une chose, s'envoyer en l'air comme pas possible. Ouais, ça fait très cochon vu de cette manière... Mais quand je fais l'amour, je m'applique, c'est un moment très agréable dont il faut profiter à fond. Je suis sûr que Tôda-kun serait d'accord avec moi ! Même si je suis certain qu'il n'a jamais fait ça de sa vie très courte vie.

    On commence sérieusement, là. Je me suis soudain retrouver sous son corps. Ne cesse les tendresses, baisers et caresses... Impossible de s'en lasser. Je me jette à corps perdu dans ses attentes, je réponds avec ferveur à tout ce qu'il me donne. Mes mains chassent, mon désir avide les guide. Je passe mes doigts sous la couture de son jean - tiens, un bouton est déboutonné... quel tête en l'air - et l'excite en effleurant une partie déjà durcie par les évènements précédents. Il a envie de moi ? Ça tombe bien, c'est très très réciproque.
    Tôda-kun interrompit nos ébats - il tendait l'oreille. Je n'avais pas du tout entendu les personnes qui passaient devant la classe. Oups, ça pouvait m'être très préjudiciable... Il faut que je fasse plus attention. Comme tout à l'heure dans la voiture, c'était risqué. Heureusement, mon jeune amant semble avoir compris les risques - aussi pour lui que pour moi - et s'est arrêté juste à temps. Tout ceci mérite une récompense, ne ?

    Il m'enlace déjà, ses mains brûlantes de désir caressant ma peau. Je l'embrasse déjà, encore et encore. Mmh... C'est tellement agréable. Ses doigts qui se glissent discrètement juste auprès des mes parties intimes. Hé hé ! D'un geste, je le soulève et le fais asseoir sur mes genoux. Je lui enlève son T-shirt en coup de vent et le laisse tomber sur le sol. Son corps m'est offert. Je mordille son coup, et même une fois jusqu'au - ooooh, le masochiste ! - et mes lèvres s'enivrent de sa peau. Je lèche son torse, dépose des suçons un peu partout. Je m'éclate, quoi... Lui aussi j'ai l'impression. La fermeture de mon pantalon a rendu l'âme, laissant voir mon caleçon. Un sourire pervers naît sur mes lèvres minces ; tu n'es pas au bout de tes peines, petit Yukio !
    Mes mains se sont glissées sous son jean, et sous son boxer... Je sens tout ses parties intimes, et je ne sais pas si je peux tenir longtemps encore sans craquer et lui sauter tout de suite dessus. Et Tôda-kun fait un se ces boucans... Je lui fais la remarque, amusé. On entendait toujours de la musique provenant du couloir.

      « He, tu vas finir par nous faire repérer. »


    Je l'ai embrassé et caressé pendant quelques secondes, l'empêchant de parler. J'avais une idée qui promettait bien... Et j'étais sûr qu'il serait d'accord.

      « Écoute... On fini ce qu'on est train de faire, je t'enlève d'ici pour un bon dîner où tu voudras...
      Et on recommence chez moi. Tu vas refuser une occasion pareille ? =P
      »


    Je l'emballe consciencieusement... Et lui laisse à peine le temps de reprendre son souffle. Je viens de baisser son pantalon.
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeMer 14 Oct - 2:17

[ Tu devrai préciser dans le titre que c'est osé, ça risque de choquer ceux qui n'ont pas l'habitude. xD
En tout cas, si je peux me permettre ton poste est vraiment bien et je suis ravie de RP avec toi, enfin quelqu'un qui fait des RP de qualités, c'est rare de nos jours. Parcontre, dans les suivants je parlerai à la première personne, car je préfère. Ok, Naara-chéwi ? :) ]




    Naara « Écoute... On fini ce qu'on est train de faire, je t'enlève d'ici pour un bon dîner où tu voudras...
    Et on recommence chez moi. Tu vas refuser une occasion pareille ? =P
    »

    Comment pouvait-il refuser des avances aussi excitante ? Même si l'envie de manger n'était pas une de ses préoccupations actuelle, il se laissa tenter par cette idée. Il répondit un petit « Non » entre ses gémissements, il criait fort le petit Yukio, beaucoup trop même ! Il serra sa mâchoire tout en contenant ses cris, comment cela pouvait être possible de ne pas jouir de plaisir à de telles caresses ? C'était encore plus dur lorsque Naara parcouru son corps avec sa langue, de son cou à son torse et de son torse à ses parties intimes. Ses longues mains agrippait les cheveux noir corbeaux de celui-ci, comme pour lui faire garder la cadence de ses mouvements ou de ses "léchouilles".
    Il y avait comme une odeur érotique dans cette classe, la nuit était déjà presque tombé et l'horloge affichait déjà dix neuf heure et quarante trois minutes. Cela faisait plus d'une heure qu'ils s'embrassaient, se caressait et plus.
    Il s'accroupit tout en poussant le professeur sur le sol, il remonta son pantalon tout en continuant de l'embrasser. Ses deux mains entoura le visage fin et carré de l'homme, sa peau était chaude. Il pouvait sentir sur son torse la matière agréable du débardeur de Naara, c'était tellement doux.
    Une pensée lui vint à l'esprit, peut-être était-il plus branché par les femmes - ce qu'il pensait du moins - mais c'était la première fois qu'il avait vraiment envie de faire l'amour.

    « Je ne sais pas si j'arriverai à tenir jusqu'à chez vous. J'ai tellement envie de vous... »

    Vous. Il n'y arrivait pas, même dans ce moment d'intimité et de complicité, le tutoiement ne venait toujours pas. Son pantalon et son boxer le serrait à l'entre-jambe... Il était excité ce petit, huhu ! ~ Mais il faudrait attendre car, même si le sol ou le bureau n'était pas des endroits confortables, le plaisir était au rendez-vous alors imaginez dans un beau lit bien moelleux ?
    Il remonta ses lèvres jusqu'aux siennes, laissant s'échapper un petit baiser mignon et tendre, une sorte de petit baiser que l'ont pourrait appelé "la première fois que je l'ai embrassé" . Il se sentit gêné d'un coup, ses yeux s'ouvrirent en même temps qu'il l'embrassa - son baiser devint un peu plus fougueux - . Et merde ! Naara pensait sûrement que Yukio n'était qu'un sale merdeux voulant se taper un prof' de trente ans - avait-il trente ans justement ? - et ÇA, il ne l'acceptait pas. Ses baisers et ses caresses devenaient hésitantes, comme si son esprit vagabondait ailleurs ... il se laissa tout de même porté par l'excitation. D'une main il toucha son ventre, oui ~ Il avait un petit peu faim, celui-ci gronda méchamment. La honte dites-vous ? Oui, ça l'était. Soudain gêné il se redressa et baissa la tête.
    Un léger sourire se dessina sur sa gueule d'ange, ses cheveux cachait la moitié de son visage et de là où Naara était posté, il ne pouvait qu'apercevoir qu'un petit bout d'un de ses yeux bridés ou de sa bouche, douce et plus ou moins pulpeuse.

    « Si nous allons jusqu'au bout maintenant, je ne pourrai pas me contenir d'hurler. Je suis plutôt bruyant ... pire qu'une gonzesse. »

    Il se pencha sur le professeur avec un sourire plutôt coquin et l'embrassa d'un baiser tendre. Sa main se posa sur les parties intimes de celui-ci, il fit des petites caresses plutôt agréable tout en caressant la nuque du professeur de mode avec sa main libre.

    « Et je sais que vous jouirez assez fort pour ne pas pousser rien qu'un petit gémissement. »

    Il se mit a ricaner comme un enfant, c'est ce qu'il était encore au fond de lui, qu'un sale gamin mal élevé. Mais il se sentait "bien" en ce moment même. Il continua d'embrasser son aîné tout en le caressant, il descendait de plus en plus bas sur le corps de Naara, très bas même. Il y a faisait des caresses, des baisers, il léchait quelques endroits tout en rigolant de ses actes et sortit tout naturellement « Il paraît que les élèves surpassent les professeurs. »

    Son sourire était radieux, érotique, sensuelle et drôle. Il déboutonna le reste du pantalon de Nakamura-sensei, sa tête était à la hauteur de ses parties intimes, et la suite vous la connaissez. ~
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Nakamura Naara
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Sexualité : À vous de le découvrir. N'est ce pas excitant comme perspective ?
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MessageSujet: Re: [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio   [YAOI - X] « Oshare Sensei » PV Tôda Yukio Icon_minitimeMer 14 Oct - 20:12

    Ah ! Mais ça m'est égal s'il ne peut pas retenir jusqu'à chez moi. Comme je l'ai dit, on pourra le faire ici, dans les toilettes du resto et sur la table de la cuisine ou je ne sais où chez moi. Cela demande de l'endurance, ne ? Quelle importance, si l'on en a l'envie. Bon, c'est impossible de réfléchir avec Yukio dans les bras. Il aime visiblement beaucoup ce que je lui fais et semble vouloir dénoncer nos ébats à tout l'établissement... He, j'ai pas envie de perdre mon boulot moi ! Mais pourquoi est ce que je m'amuse à cogiter dans un moment pareil ? Je devrais profiter un maximum du corps de Tôda-kun et de nos jouissances.

    Je n'écoute même plus ce qu'il me dit, je suis trop occupé. Je l'embrasse, je le caresse, je joue avec ses désirs et ses envies. Je vous passe les détails que Yukio s'est déjà empressé de raconter, fidèle à lui-même et ses idées perverses. Que par ailleurs, j'approuve. Ooh, tu veux jouir ? Mais pourquoi est ce qu'il parle de filles à ce moment-là ? Ma réaction est immédiate ; je le gifle. D'un coup, comme ceci. Mais mon sourire est malicieux et mes intentions bonnes. Je ne veux que son corps... Je le plaque sur le sol et j'accentue légèrement ma pression en bas du torse. J'enfonce mes ongles dans la peau de son bras, et le mords dans le cou. J'ai parfois des excès de violence lorsque je m'envoie en l'air avec quelqu'un... Généralement, ça excite plus que cela fait mal.

    Quelques minutes plus tard, c'est oublié. À mon tour d'être allongé sur le sol et de subir les vengeances de mon amant; Tôda-kun lèche et embrasse mon torse, il descend, de plus en plus bas. J'ai deviné ce que Yukio veut, et je le laisse faire. Alors que les derniers boutons de mon pantalon ont sauté et que Tôda-kun s'exécute, je me sens rempli d'in plaisir intense. Mon corps se courbe, et mes doigts agrippent ses cheveux, pour qu'il continue, encore et encore.
    Oui, je gémis. De plus en plus fort, même. Je ne sais pas combien de temps à duré cette acte, mais c'était tellement bien que je savais que lui en redemanderais encore. Je le regarde avec des yeux amusés, et je ne remonte pas mon pantalon.

    Je bondis sur lui et on roule sur le côté. Je suis en dominateur au-dessus de lui, et je me saisis de son jean sur les bords. Je veux plus... En plus de son pantalon, j'ai baissé le caleçon pour être sûr d'avoir toute la place possible. Je ne vais pas annoncer avec des termes crus ce que je fais, c'est une évidence... Je le pénètre. Doucement, pour ne pas lui faire mal, car oui c'est très douloureux pour un homme. Mes lèvres capturent les siennes et ne les lâchent plus. Je n'accentue les pressions de mon bassin que très légèrement, juste assez pour qu'il me sente en lui.
    Je ne l'ai pas lâché pendant vingt minutes. Quoiqu'il ait pu tenté. Je me retire tranquillement, essoufflé mais content.

    Je me lève et le prend dans mes bras, et l'aide à s'asseoir sur le fauteuil du bureau. Je me rhabille lentement, un sourire aux lèvres. Je souris beaucoup trop depuis que je suis à Kyôsô, ce n'est pas normal. Alors que je réajuste mon haut, je m'approche de Yukio. Je dépose un baiser sur son front.

      « Aaah. J'ai bien fait d'avoir cédé. J'espère que tout ceci t'a plu... Car ce n'est pas terminé.
      On va aller reprendre des forces dans un restaurant de ton choix, et on pourra reprendre notre découverte des corps chez moi. À moins qu'on se lâche dans les toilettes... hé hé.
      Dis moi où tu veux aller...
      »


    Je suis en train de remettre mes chaussures, assis sur le bureau. J'attends, l'observant du coin de l'oeil.
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