森青木 [under.construction]

Identity Card

.

Nom : 森 Mori
Prénom : 青木 Aoki
Surnom(s) : xx
Age : 20歳
Origine(s) : 日本人 Japonaise
Orientation sexuelle : Homosexuel
Année : xx Professeur
Dortoir & Club : xx Dessin
Personnage prédéfini : [ ] Oui [ x ] Non

Chinese portrait

.

Si j'étais une saison : L'hiver. Elle est la plus belle à dessiner comme à observer. Elle est calme et apaisante, vraiment agréable.
Si j'étais un animal : Un chat. Ne sont-ils pas superbes ? Tellement mignons tant qu'ils sont petits, et devenant incroyablement élégants en grandissant.
Si j'étais un loisir : Le dessin. Je n'en ai pas fait mon métier pour rien.
Si j'étais une boisson : Sans alcool. Pas pour paraître raisonnable, juste que je n'aime pas. Le goût ne m'est pas appréciable.
Si j'étais un mot : Mayakashi. Pourquoi le mot « trahison » est-il si beau ?
Si j'étais un plat : Le gâteau au macha reste mon pêcher mignon. Autant pour son goût particulier que par sa couleur qui en étonne plus d'un.
Si j'étais une chanson : Plastic Tree - Sanatorium. N'est-ce pas magnifique ? Cette musique douce et touchante surplombée par cette voix tellement calme et fragile...
Si j'étais un objet : Une feuille. J'en ai la fragilité, je pense. Ainsi que l'énorme différence qu'il peut y avoir entre deux types comme entre deux de mes humeurs.
Si j'étais un parfum de glace : Lytchee. Sans raison particulière.
Si j'étais une partie du corps : Les lèvres. Qui n'a jamais rêvé d'embrasser de jolies lèvres ? De les caresser, ou même juste de les admirer. C'est beau, des lèvres.
Si j'étais un film : Tonari no Totoro. J'aime les dessins animés, celui-ci me touche particulièrement. Il est vraiment très beau, simple et adorable.
Si j'étais un vêtement : Un cardigan. Simple, esthétique, et qui tient un peu chaud mais pas trop. C'est le vêtement que l'on peut porter en tout temps, j'aime ce sentiment de ne pas être éphémère.
Si j'étais un art : Le dessin. Evidement, sinon pourquoi serais-je ici en tant qu'enseignant de cet art ? Même un dessin soit disant « raté » peut exprimer une foule de sentiments, il suffit d'y mettre son coeur. Je suis aussi passionné par l'écriture. S'il y avait eu une section littéraire, peut-être aurai-je hésité ?
Si j'étais un des quatre éléments : L'air. Il est tellement changeant, je lui ressemble incontestablement. Je suis le calme plat et la tempête à la fois.

Tell me more

.

Caractère :

« Welcome in my theatrical mind. »

Comme la brise fraîche se transforme en tempête, comme la chaleur de l’été devient orage, comme chaque jour peut-être l’opposé du précédent et du suivant, comme la douleur peut se compléter au bien-être. Aoki est ainsi. Des humeurs très marquées, une sensibilité très forte. Chaque petite chose, aussi insignifiante soit-elle, peut le faire réagir au quart de tour. Ne vous faites jamais une image précise de lui, vous vous tromperiez lourdement, il est impossible de le connaître réellement. Trop de facettes pour toutes les découvrir. Particulier, décalé, effrayant comme apaisant. Certains le disent fou. Peut-être l’est-il ? Instable, surtout.

Le plus souvent, c’est parfaitement calme, avec un air extrêmement élégant qu’on peut le voir. Très distingué et semblant appartenir à un autre monde, il ne ferait aucun mal à une mouche. Une certaine fragilité se dégage de lui, comme si on pouvait le briser au moindre contact. Sa voix est ainsi, aussi. Très posée, grave et comme incapable d‘être forcée. Comme s’il ne pouvait pas crier. Elle pourrait être comparée à celle d’un enfant malade. Ses gestes tout en délicatesse, la noblesse qu’il impose, il est toujours respecté voir admiré partout où il passe. C’est, la plupart du temps, un prof plutôt aimé par ses élèves, quoi que ceux-ci le trouvent peut-être parfois un peu étrange. Il prend toujours le temps de tout leur expliquer et s’intéresse à chacun, n’en privilégiant aucun. Il s’adapte aux goûts de tous, tentant de faire des choses qui ne soient pas intéressantes uniquement pour les uns, et surtout possède une extrême patience pour tout ce qui touche à l’art. Il y est dans son univers. Et il juge important d’ « aider les fleurs à éclore ». Ainsi, rares sont ceux qui ont une mauvaise opinion de lui.

Sauf que, comme précisé plus haut, on peut le trouver « un peu étrange ». Déjà par son apparence royale et ses phrases semblant parfois être tirées de livres, mais aussi à cause de son instabilité certaine. Celle-ci l’entraine à faire de violentes crises de larmes pour rien. Il pourra aussi refuser de parler, ou alors voir le mal partout et ainsi rabaisser tous les élèves. Heureusement il fait tout pour se maîtriser et ce n’est pour l’instant arrivé qu’une seule et unique fois devant une classe. De violentes crises d’hystérie peuvent le prendre aussi. Devenant violent et incontrôlable, il paraît soudainement avoir une force énorme. Sa voix précédemment fragile est assurée et puissante, son calme s’évanouit d’un seul coup, sa brutalité pouvant effrayer. Surtout quand il y a un tel contraste. Pourtant, le plus souvent, c’est à lui-même qu’il s’en prend. Dans ces moments là, on pourrait penser qu’il voue une véritable passion à se blesser. Les yeux brillants, s’appliquant avec grand soin, il semble passionné. Et il faut croire qu’il l’est. Testant tous les moyens de se faire plus ou moins mal, cherchant à connaître toutes les sensations possibles. Son corps restera marqué à vie de son esprit trop tourmenté.

« Sauvez-moi de ce malade » dit l’un.
« Epargnez-moi cet être sans vie » dit l’autre.

Histoire : Je n'aime pas raconter mon histoire. Mais la voici, celle qui m'a rendu fou.

« Maman, regarde, il pleut ! »

Les fines perles d’eau venaient fouetter son visage, entrainées par le vent, se confondant avec les larmes dévalant ses joues. Tout son corps était trempé, ses cheveux complètement laqués accentuant sa mine détruite, ses vêtements rendus lourds moulant son corps trop maigre. De violents frissons le parcouraient alors que des bourrasques l’attaquaient. Ses yeux fixaient le sol comme si c’était la plus belle chose qu’il lui fût donnée de voir dans sa vie. Peut-être. Des bandages couvraient négligemment des blessures encore ouvertes. Sa tête était prête à exploser sous tous les bruits de la ville. Il avançait d’un pas incertain à cause de la fatigue. Le vent frappait avec plus de vigueur, abattant la pluie plus fortement contre sa peau, redonnant un volume certain à ses cheveux. Il s’effondre et rejoint le sol qu’il était en train d’admirer. Des cris, des bruits de pas, un attroupement. Mais il est déjà trop loin pour s’en occuper. Sur le toit de l’immeuble, on pouvait voir plusieurs boîtes de cachets, recouvrant une lame teintée de sang, reposant sur une courte lettre.

A la personne qui lira ceci, merci.

« Maman, maman ! J’ai vu une goutte d’eau qui ressemblait à un garçon ! »

C’est sûrement le souvenir le plus lointain que j’ai. A quatre ans, déjà, j’ai commencé à me décaler des autres. Elle, elle le savait, que cette « goutte d’eau » était bien une personne réelle, je l’avais compris dans son regard. Mais elle avait vu quelque-chose qui ne m’avait jamais frappé à ce moment-là, et que je n’aurais jamais compris sans certains évènements. Elle était très observatrice, et je suis fier d’être comme elle aujourd’hui. L’année de ce triste jour de pluie fût ma dernière année de scolarisation. Elle préférait me garder à la maison « par sécurité ». Si j’avais su. Pourtant, ça ne me dérangeais pas. Je n’avais jamais été proche des autres, je préférais les fuir pour pouvoir rester tranquille. Et ce côté-là n’a fait qu’empirer. Si elle avait sut. J’ai donc grandit chez moi, ne sortant que très rarement et toujours accompagné de mon père ou ma mère. Elle me faisait mes leçons, et à mes cinq ans j’ai commencé à prendre des cours de guitare. D’après mes parents, j’apprenais très rapidement et j’étais très doué. Je n’ai jamais vraiment su, ne connaissant pas le niveau moyen.

« Aoki-kun, on va à la plage demain, tu es heureux ? »

Evidement, que je l’étais. J’avais huit ans, je venais d’apprendre à nager, je ne pouvais pas être déçu d’une telle nouvelle. Je n’en avais pas dormis de la nuit. J’allais voir la mer pour la première fois de ma vie. Celle que je n’avais vue qu’en photo, et que j’avais tellement envie de dessiner correctement, tant le regard de ma mère s’illuminait quand elle en parlait. Elle avait grandit dans une maison à quelques mètres de l’océan. Elle aussi, je l’avais dessinée de nombreuses fois. Depuis tout petit je m’amusais avec les crayons, je trouvais ça extraordinaire et répétais qu’un jour, mes dessins seraient aussi vivants que le monde entier. Le lendemain, nous avons donc tout soigneusement préparé, puis étions partis en début de matinée pour pouvoir pique-niquer en arrivant.

« Pourquoi tu souries comme ça, Yasu ? »

S’en suivait un cri strident, deux bras autour de mon corps, et du sang. Beaucoup de sans. C’est le souvenir qui m’aura le plus marqué, je pense. Je ne saurais jamais pourquoi il a continué tout droit à ce virage, pourquoi il a voulu nous entrainer dans sa mort… Ni même pourquoi il a voulu mourir. A mes yeux, il n’y avait aucune raison valable, mon père était toujours souriant et jouait beaucoup avec moi. Je ne l’avais jamais vu malheureux, même quand la vie l’a quitté, il souriait. Tout le monde le disait fou, mais je n’y crois pas.

Après cet accident qui m’aura coûté la perte de mes deux parents, on me plaça donc dans un orphelinat, à Tokyo. Ils disaient que c’était bon pour moi de m’éloigner de ma ville et de mes souvenirs. Pourtant, je n’ai jamais oublié, si c’est ce qu’ils cherchaient. Obligé de retourner à l’école normalement, je faisais tout mon possible pour rester seul, toujours. Après quatre ans passés chez moi, j’avais développé une véritable peur du monde m’entourant. Tous semblaient tellement haineux, effrayants. Et en même temps j’enviais leurs rires. C’est d’ailleurs à partir de là que mon côté violent c’est développé. Leurs sourires, qui me rappelaient ceux de mes défunts parents. Je leur en voulais, je ne voulais plus voir la joie autour de moi. Tout semblait s’être effondré. Seul, mais pourtant entouré, obligé d’être continuellement en collectivité mais en plus d’arrêter mes cours de guitare, j’avais l’horrible sensation de ne plus rien avoir. Les crises ont commencé. Je n’étais pas encore trop méchant, je criais seulement, et j’étais extrêmement froid plutôt qu’être indifférent. Mais petit à petit, je m’étais mis à frapper. Leurs sourires m’étaient insupportables, et encore plus ceux de tous ces adultes qui me prenaient en pitié. J’angoissais, aussi, beaucoup. Et les paroles de toutes ces personnes qui avaient insinué que mon père était fou me revenaient en tête. Peut-être l’était-il ? Et peut-être l’étais-je aussi ?

« Aoki-kun ? Voici Mori Akito-san et Suzune-san. Tu vas aller avec eux maintenant, d’accord ? »

Comme s’ils m’en laissaient le choix. J’avais maintenant onze ans, et je prenais le nom de Mori. Ils m’avaient répété que c’était superbe et que ça allait à merveille avec mon prénom. L’arbre bleu au milieu de la forêt. Tout le monde sait que les arbres bleus n’existent pas. Pour moi, ça soulignait simplement la folie que je m’étais décidé à accepter. D’ailleurs, malgré mes accès de violence, ils étaient le seul couple à avoir voulu de moi. J’étais un peu étonné, et déstabilisé. J’avais réussi à obtenir la solitude que je recherchais et on me l’arrachait, mais j’essayais d’être positif en me disant que je ne serais plus entouré à longueur de journée. Ils vivaient dans un petit appartement à Tokyo, ça avait quelque chose de rassurant quelque part. Je ne me sentais pas agressé par le vide, ainsi. Ni par les autres, puisque nous n’étions que trois. D’ailleurs, j’avais pu reprendre une vie comme avant, avec eux. Même si c’était moins drôle qu’avec mes parents, à nouveau je suivais les cours par correspondance et apprenais la guitare, le violon aussi. A cause de ma brutalité, ils avaient préféré faire ainsi « pendant un petit moment ». C’est comme ça que j’ai réussi à me calmer. Et aussi que j’ai pris ces attitudes un peu royales et détachées du monde. J’ai tellement lu, je me suis tellement identifié aux personnages, que j’ai finis par me comporter un peu comme dans un livre. Et ainsi coupé des autres, je me sentais mieux. Je ne voyais plus leurs sourires, je n’entendais plus leurs rires. J’étais ailleurs.

Pourtant, ça m’aura coûté. Même si je suis resté ainsi, et le suis encore aujourd’hui. Quand j’ai eu seize ans, Akito et Suzune ont commencé à me demander de sortir, parfois, pour faire quelques courses en général. Même si en présence de quelques personnes j’arrivais à gérer mes crises, avec tant de monde autour de moi, je me sentais oppressé, agressé. C’était pire qu’avant. J’angoissais terriblement et finissais très souvent par faire des crises, pas de violence, heureusement. Et puis un jour, il est apparût. Lui, sa silhouette effrayante, son visage repoussant, son regard malsain. J’ai eu peur, très peur. Et j’avais bien fait, pour une fois ma phobie sociale m’avait sauvé. J’avais tout de même sentit ses doigts sur ma peau, ses lèvres contre mon cou. J’étais dégoûté, et c’était de pire en pire. Au fil des années, je haïssais ce corps qu’il avait touché.

Enfin, c’est ce jour, ce même jour, douze ans plus tard, que j’ai compris ce que ma mère avait vu. Ce garçon à sa fenêtre, qui me fixait alors que je rejoignais le sol. Il était moi, j’étais lui, tout comme cet homme il y a douze ans était moi aujourd’hui. Seule notre lettre nous différenciait, c’est peut-être ce qui m’a sauvé.

Je pars vers des jours meilleurs.

J’avais de nombreuses blessures et j’ai du passer une année complète à l’hôpital, mais j’étais toujours vivant. Je crois que c’est quand cette pensée m’a atteint que j’ai réalisé que j’avais de la chance. Juste pour le dessin et pour la musique, je ne voulais plus mourir. Pendant toute cette longue année, j’étais suivi par un psychologue. Ils disaient que c’était pour mon bien, soit. Je m’en fichais un peu. Je dessinais, et apparemment il analysait. Je ne me rappelle plus trop de nos rendez-vous, mais je sais que c’est lui qui m’a orienté vers le métier de professeur. D’après lui, j’irais mieux si je pouvais donner une raison de vivre aux autres. Peut-être avait-il raison ? Je ne saurais pas encore dire si je vais mieux. Les médicaments me permettent de me contrôler un minimum, et mon attitude royale de ne pas m’attarder sur les gens qui m’entourent. Ainsi, aujourd’hui, je suis à Kyôsô pour enseigner le dessin. Pour que tous ces passionnés puissent vivre.

Que pense votre personnage des rivalités entre sexe et entre dortoirs ? Si ça peut motiver les élèves à travailler, ce n'est que positif. Si par contre ça se transforme en rivalités constantes et en rejet de certaines personnes, c'est idiot. Mais tout semble marcher, donc je n'ai rien contre. C'est agréable de voir ces jeunes tout faire pour réaliser leurs rêves et surtout à combattre tout obstacle pour réussir.
Affinités : Aucune, pour l'instant.
Avatar : Ruiza, D

What about you ?

.

Prénom/Pseudo : リユウ Riyuu
Age : 16歳
Comment as-tu connu le forum ? : Ca fait longtemps, maintenant °° XD
Qu'est ce qui t'as poussé à t'inscrire ? : Pour ce perso, l'idée m'est venue, et j'me suis dis qu'il fallait absolument que j'le joue o/ Encore un tordu de plus, quoi ~~ x)
Au passage, je suis désolé, à chaque nouveau perso j'refais la fiche de présentation à ma sauce, c'est plus fort que moi XD *Aime pas faire comme tout le monde* XD


« Règlement lu et approuvé »

Je ne joue QUE des homos XDD
Merci ~

Heureusement, qu'y a des beaux gosses 8D XD
Merci o/ *Va s'y mettre* XDD

Ohhh charmant jeune homme. *__*
Je me sens dans l'obligation de coucher avec Aoki (L)
mais je sens aussi que je vais me faire taper.

Enfin, je verrai faudrait déjà que je fasse une grosse MAJ dans mes relations.
Bienvenuuuue ~

Ooh, mais qui est-ce ? *BRIQUE*

Trop tard Yukio-kun, je t'ai devancé de ce point de vue =P

Re-Yôkoso Riyû ~ 

Naara a écrit:

Ooh, mais qui est-ce ? *BRIQUE*

Je me demaaande 8D
T'aurais la priorité Naara-chan
*Surtout que ce perso là sera pas nympho, vous l'aurez pas tous* XDD

Merci Tsu n__n
Ruiza est tellement claaasse ~ XD

Mon Dieu **
Un autre professeur, et qui plus est, très beau ~

Bonne chance pour la fin de ta fiche cher collègue <3

Je vois que mon avatar fait sensation ~ XD
Merci beaucoup (:

Portrait chinois ; FAIT!
J'ai pu cerner le genre de personnage que je voulais faire d'Aoki, et j'aime vraiment beaucoup. C'est un style totalement différent de ce que je joue d'habitude, ça me plait... Et puis vous pouvez être fiers Tsu et Kazuzu, c'est la deuxième fois que je m'essaye à un nouveau genre sur ce forum o/ XD

Entre Shou et Ruiza, je fais que rappeler Kinosei XD J'vais me faire un perso avec Aoi la prochaine fois, tu vas voir o/ *OUT* XD
D'ailleurs, elle m'a dit "l'admin de Kyôsô s'est inscrite sur KHC" c'est toi ou Tsu? XDD (Elle fait tout pour que j'm'y inscrive, en fait... x))

KyungHee Complex, c'est pas le sien, elle y est modo ~
(C'est vrai que si c'était toi, elle m'aurait juste dit "Naoki c'est inscrite" XD)

Désolé pour le double-pooost ~
Je suis pas trop satisfait de la fin de mon histoire, mais bon... Fini o/