| | | Que du bonheur ! [ PV Kakenai ] |  |
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Nobuki Kietsuko
Admin Méchant èwé
Nombre de messages : 3244
Âge ~ Année : 18 ans ~ 3ème année
Activité : Ô Roméo, pourquoi es-tu Roméo ? Leader de la troupe de théatre (H)
Sexualité : Le cul entre deux chaises et prêt à finir par terre xD Hétéro incertain pouvant se travestir quand l'envie lui prend (a)
Humeur : Beh ma foi bien hein n__n
Am I ... ? : Un fou furieux tout droit sorti de l'asile & qu'il faut capturer au plus vite '-'
Situation : Libre comme l'air & très bien comme ça
Topics : Plein d'chez plein
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| Sujet: Que du bonheur ! [ PV Kakenai ] ![Que du bonheur ! [ PV Kakenai ] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 4 Jan - 2:05 | |
| Une journée plutôt banale s'annoncait une fois de plus, ce qui avait le don d'ennuyer fortement Kietsuko qui détestait ça. Heureusement, le sms qu'il avait reçu quelques heures après son réveil lui redonna la pêche qu'il avait perdu depuis quelques jours. "Cette après-midi au Seiyo Ginza ?", message auquel il n'avait pas pu s'empêcher de répondre un grand "Oui". La matinée passa avec une lenteur monstre. C'était bien connu, c'était lorsque l'on attendait quelque chose patiament qu'elle approchait lentement. De la même façon (par exemple), une représentation que l'on voudrait repousser au maximum arrivera à une vitesse folle.
Kietsuko avait rendez-vous. Un rendez-vous galant ? En quelques sortes oui, enfin tout dépendait de comment on voyait la chose. Evidement, il n'était pas du genre à lésiner sur les détails et ne faisait pas les choses à moitié. Voilà pourquoi il avait le don de trouver les meilleurs endroits pour ce genre d'occasions. Quoi de plus original que le quartier de Shibuya pour trouver son bonheur ? Celui de Kietsuko en tout cas n'était pas difficile à combler. Un simple hôtel fait de lui un homme heureux. Un coureur de jupons, Kietsuko ? A ça, sûrement pas. Non, disons que les hôtels avaient une toute autre utilité pour lui.
Arrivé face à cette choses qui faisait des dizaines et des dizaines de mètres de hauteur, Kietsuko entra puis se dirigea dans le hall qu'il scruta attentivement des yeux. Une fois avoir détaillé tout ce qui était détaillable, il s'asseya dans un des fauteuils qui était exposé face à l'entrée. Mais qui pouvait-il bien attendre ? A première vue, ce n'était pas la chose la plus difficile à comprendre, mais contre toute attente, c'est Kakenai Kuronishi qui fît son entrée à son tour. Lui et Kietsuko étaient amis depuis leur première année ici. Rapidement ils se sont découvert des passions communes, et plus particulièrement un passe temps qui plaisait autant à l'un qu'à l'autre. C'était d'ailleurs pour ça qu'ils avaient fini par se retrouver ici, une fois de plus. Trois ans auparavant, il leur arrivait déjà de fouiner partout où ils pouvaient dans le seul et unique but d'observer, détailler voire critiquer tout ce qui pouvait bien passer par là. Cela faisait bien maintenant quelques jours que les deux jeunes hommes ne s'étaient pas retrouvés et le plaisir que cela procurait à Kietsuko rien que d'imaginer son ami rien qu'à lui pour l'après midi lui procurait une joie indescriptible. Pour en revenir à l'hôtel, cela faisait bien 10 secondes que le brun faisait de grands signes à Kakenai qui lui n'avait pas l'air de l'avoir remarqué, ou bien avait décidé de faire tourner son ami en bourrique.
« Kake-chan ! (...) WOH ! »
Dernière édition par Nobuki Kietsuko le Lun 7 Sep - 13:07, édité 2 fois | |
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Invité
| | Sujet: Re: Que du bonheur ! [ PV Kakenai ] Dim 4 Jan - 17:33 | |
| Et voilà, à peine eut-il les yeux ouverts qu'il prit mollement son portable afin de contacter un de ses meilleurs potes; Une invitation spéciale. Esquissant un sourire, il constata quelques secondes plus tard que celui-ci acceptait: Comme si il aurait pu refuser. En temps normal, pourquoi pas, mais en ce moment, leurs sorties étaient si rares qu'il serait presque mal vu et impossible que la réponse soit négative. Grognant de fatigue, il se mit sur le ventre pour se rendormir; Et cela ne tarda pas. En effet, il ne fallut pas plus de quelques secondes pour qu'il replonge dans un sommeil profond, tombant dans un rêve tout à fait étrange: Mais, n'est-ce pas ici sa simple définition? Et voilà, un sursaut. Instinctivement, il ouvrit les yeux avant de soupirer de ridicule. Ce que c'était chiant quand ça arrivait ça! Vous êtes paisible, roupillant, lorsque vous faites un bond de deux mètres pour une raison quelconque. Fait chier, murmura t-il, tout en repoussant la couette pour se lever. Se frottant les yeux, il ne tarda pas à s'étirer en baillant; Si seulement il avait la possibilité de dormir encore un peu. Ses yeux virèrent vers son téléphone et c'est avec une légère touche de déprime qu'il constata qu'il avait une heure de retard. Si quelque chose était tout aussi haïssable qu'un réveil mouvementé, c'était sûrement de remarquer qu'on était à la bourre quelque part, et que les conséquences seraient toutes sauf positives: D'abord, la bonne humeur exclusive de maman Kakenai disparaîtrait aussi vite qu'elle était venue, et ensuite, ses notes dégringoleraient; Oui, il suffisait qu'il manque un cours pour faire des conneries un peu partout.
S'élançant vers son armoire, il prit des fringues au hasard. Heureusement, la chance était avec lui et il sortit des affaires dignes de ce nom qu'il s'empressa de lancer sur son lit avant d'aller vers la salle de bain; Douche, soins, lavage de dents et coiffure, et le voilà qui ressortait de la salle d'eau pressé. Cela faisait officiellement deux heures qu'il ratait les cours. Vraiment énervant. Il s'habilla, rapidement, avant de prendre son sac déjà préparé, le mettant négligemment sur son épaule tout en descendant les escaliers d'un pas rapide voire même dangereux. Arrivé en bas, il chercha sa mère du regard: Celle-ci était devant la télé, le regard maussade, l'air inanimée. Géniale, mieux valait partir à pas de loup si il ne voulait pas se faire cramer et par la même occasion la mettre dans un état encore pire. Hop, il traversa l'allée qui menait jusqu'au portail, et une fois qu'il eut passé celui-ci, il se mit en marche, rapide, jusqu'à son établissement. Quel bonheur ce fut que de le voir dix minutes plus tard, face à lui et bourré d'élèves qui sortaient ou entraient en cours. Se faufilant entre eux, il fut silencieusement content de ne pas avoir à les saluer pour la simple raison qu'ils n'étaient pas amis. Être populaire mais pas sociable était bien parfois, vraiment. Esquissant un sourire, il entendit une bande de fille pouffer derrière lui mais il n'y accorda pas d'attention, comme toujours.
[K]"Désolé pour le retard, professeur."
Dit-il au vieil homme dégarni qui ouvrit la porte, une craie à la main et un sourcil haussé.
[P]"Tiens donc, monsieur Kakenai. Vous venez de rater deux heures et quelques de TP, puis-je savoir pourquoi vous vous pointez seulement à la dernière heure?"
Le japonais s'apprêta à répondre, esquissant un sourire désolé, mais son interlocuteur fut plus rapide.
[P]"Ah, je vois. On préfère rester avec sa bande de copines, n'est-ce pas? Dans ce cas ne les privez pas de votre compagnie."
La porte se referma devant ses yeux, lui faisant perdre ce petit rictus qui était rare à observer sur son visage; De quoi parlait-il? Kuronishi hésita à frapper de nouveau à la porte, mais cela aurait sûrement été déplacé. Une bande de copines, où ça? Curieux mais surtout agacé, il se retourna pour voir si les paroles de son professeur étaient vraies. Apparemment, oui, mais le jeune homme n'avait jamais été au courant que les précédentes demoiselles étaient encore là, tout près. En gros, c’était du collage quoi. Si il n’aimait pas un truc, c’était payer pour ce dont il n’était pas coupable, alors si une chose était sûre, c’est qu’elles se prendraient une trempe. Plissant les lèvres avec un amusement presque sadique, il fit glisser son regard sur chacun d’entre elles, avant de lancer.
[K]"Si je me souviens bien, vous avez pas le droit d’être là."
Une de celles-ci parut très gênée alors que les autres se mirent à rigoler, plus nerveusement qu’autre chose. C'était quoi encore ce délire féminin, ne pouvaient-elles plus se retenir de venir foutre la merde chez les mecs? Rien que pour ça, Kuronishi espérait que la prochaine victoire serait pour le sexe le plus fort. Misogyne? Non, énervé. Ce matin, au lieu de filer dans l'espoir d'être accepté, il aurait pu rester auprès de sa mère, et à cause de ces boulets il se retrouvait comme un imbécile, sans occupation.
[F]"On le sait, mais...fallait que Hiroko trouve le moyen de te parler. Et comme tu donnes ton numéro à personne, et bah..."
[K]"Et bah vous avez préféré me suivre."
Interrompit-il. Ridicule, mais ce qui l'était encore plus, c'était que l'étudiante qui devait lui parler n'ait pas le courage de venir toute seule, ou bien d'ouvrir la bouche la première. Là, il pouvait parier que c'était celle qui était soudainement devenue rouge lorsqu'il avait parlé. Rien d'étonnant. Sans vouloir ajouter ni entendre plus, il tourna le dos, mettant ses mains dans ses poches, avant de se mettre à marcher le long du couloir. Tant pis pour elles, il n'était déjà pas très sociable en temps normal, mais alors là elles avaient tout fait de travers. Une demi-heure plus tard, après avoir rôdé un peu partout, il sortit de son établissement scolaire direction le love hotel le plus proche. Rendez-vous? En quelques sortes. Il y arriva vingt minutes après, légèrement décoiffé. C'est donc en poussant la porte qu'il plaqua de nouveau sa mèche contre son front, gardant une main dans sa poche tout en balayant la salle du regard. Bon, où il était, qu'il puisse enfin se détendre correctement. Ce n'est d'ailleurs que grâce aux nombreux signes qu'il remarqua son ami, se dirigeant vers lui, un sourire aux lèvres.
[K]"Pfiou, je deviens aveugle m'en veux pas hein."
Puis il s'assit près de Kietsuko, glissant son bras autour de ses épaules en laissant tomber sa tête en arrière, sur le dossier.
[K]"Je suis mort."
Tenue du jour;
- Spoiler:
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| | | | Nobuki Kietsuko
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Sexualité : Le cul entre deux chaises et prêt à finir par terre xD Hétéro incertain pouvant se travestir quand l'envie lui prend (a)
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| | Sujet: Re: Que du bonheur ! [ PV Kakenai ] Lun 5 Jan - 23:56 | |
| - Citation :
- « Pfiou, je deviens aveugle m'en veux pas hein »
Ah cet instant, Kuronishi se laissa tomber dans un des fauteuils. On peut le dire, il était réellement affalé sur cette chose, ce qui étonnait "légèrement" les hôtes d'accueil de l'hôtel qui avaient ouvert de grands yeux devant la scène qui s'offrait à eux. C'était devenu une sorte d'habitude à présent pour Kuronishi et Kietsuko qui avaient fini par prendre leurs marques et ne trouvaiet rien de plus normal que de se comporter comme s'ils étaient chez eux. Après tout c'était la vie rêvée, non ? Un grand hôtel en guise de "home sweet home" et des hôtes prêts à satisfaire tous vos désirs à longueur de journée. Y'avait pas à dire, c'était la vie rêvée. Alors que certains étudiants faisaient la tournées des bars toute la journée, eux préféraient encore faire la tournée des plus grands hôtels de la ville.
- Citation :
- « Je suis mort »
« J'en suis pas si sûre que ça. Tu verrais la créature qui vient d'entrer, tu en tomberais par terre. Bien sûr je peux comprendre que tu ne veuilles pas ... »
A peine le temps de terminer sa phrase, Kuronishi avait fait un bond sur son fauteuil et avait miraculeusement retrouvé la vie. Depuis longtemps, les filles représentaient en quelque sorte son "point faible". Ah ça on pouvait dire qu'il les aimait, certaines étaient même capable de le rendre fou. Et puis ? Vous leur demanderez un jour peut-être pourquoi adoraient-ils tant passer des journées entières dans ce genre d'hôtels ? Et ils vous répondraient par un sourire complice, se feraient un d'oeil et finiraient par rire eux-même de leur bêtise. La réponse ? Vous ne l'obtiendrez certainement jamais, mais tant que eux se comprenaient, cela leur suffisait.
Pour en revenir à la réaction de Kuronishi, il s'agissait en réalité d'une fausse joie. La phrase de Kietsuko avait en quelques sortes eu l'effet d'un électrochoc sur lui. Oui, il avait bel et bien parlé d'une "créature à tomber par terre". Mais lui voyait plutôt ça d'un oeil péjoratif. A tomber par terre ça elle l'était oui, et encore il fallait voir la chose pour comprendre. D'un pas assuré elle se dirigeait jusqu'à l'accueil et s'adressait aux hôtes d'un air hautain.
« Suite numéro 146, troisième étage »
Evidement, ce n'était pas la peine de se demander ce qu'une femme de ce genre venait faire ici. La seule chose qui pouvait paraitre étonnant, c'est qu'elle ne soit pas accompagnée. Mais sans doute allait-elle rejoindre l'heureux élu sous peu. Elle récupéra une clé qu'on lui tendit et se dirigea jusqu'à l'ascenceur qui peut-être ferait monter la température au fur et à mesure des étages. Après tout, elle était là pour ça, non ?
Evidement, les deux jeunes hommes qui observaient la scène depuis le début ne pouvaient s'empêcher de laisser s'échapper quelques sourires complices. Et oui, leur passe-temps, c'était ça. Observer, fouiner, détailler et pourquoi pas critiquer. Vous aussi sans doute avez vous déjà fait ça. Vous rencontrez quelqu'un dans la rue et vous ne pouvez pas vous empêcher de le scruter de la tête au pied, faisant attention à chaque petit détail qui trahirait cette même personne. Et bien ça, c'était un réel plaisir pour nos deux étudiants.
Fidèle à lui-même, Kuronishi décida de "tenter sa chance". Lui qui savait si bien amuser son ami, il se dirigea vers la jeune femme en question histoire de l'aborder. Le but ? S'amuser, profiter, peut-être même finir par se prendre la raclée de sa vie. Préférant ne pas se faire remarquer, Kietsuko profita du journal qui s'offrait à lui sur la table basse face à lui, faisant mine de lire afin de regarder la scène de plus près. L'instant suivant fût court mais intense en émotions. Kuronishi se pressait histoire de ne pas laisser sa "proie" s'échaper et se retrouva en deux temps trois mouvement entre elle et l'ascenseur. Qu'allait-il encore inventer ?
Dernière édition par Nobuki Kietsuko le Lun 7 Sep - 13:08, édité 2 fois | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Que du bonheur ! [ PV Kakenai ] Mer 7 Jan - 17:43 | |
| [HS: Lowl, je savais pas que tu avais le droit de faire jouer mon perso, voleur 8D;]
[K]"J'en suis pas si sûr que ça. Tu verrais la créature qui vient d'entrer, tu en tomberais par terre. Bien sûr je peux comprendre que tu ne veuilles pas... "
En effet, à l'écoute, il bondit en entendant un mot précis. Un canon, où ça? Redressé, il jeta des regards un peu partout avant de finalement poser les yeux sur la proie en question; Magnifique. Simplement habillée d'une légère robe rose qui laissait entrevoir une partie de ses cuisses, moulant sa taille fine et bien dessinée, et qui retraçait parfaitement sa poitrine avantageuse. Inutile de se demander ce qu'elle venait faire ici, ça tombait sous le sens. Soupirant, Kuronishi entendit l'hôte lui indiquer la chambre où elle rejoindrait certainement son amant, ou bien dans laquelle elle l'attendrait. Peu importe, ce qui était clair c'est qu'ils n'allaient pas se contenter de jouer aux cartes ensemble. Se retournant vers Kietsuko, il remarqua qu'il souriait, ce rictus étant sûrement bourré de sous entendus. Lui rendant, l'air amusé, il se leva; La draguer? Pourquoi pas, tant qu'il la stoppait. Réussir à désintéresser une femme qui a le feu au cul était quelque chose de difficile, étant donné qu'elles étaient souvent très impatientes, mais bon, tant que tous les deux se divertissaient, ça ne pouvait faire qu'un bon souvenir.
[K]"Mademoiselle!"
Arrivant à sa hauteur, il lui bloqua le chemin de l'ascenseur comme si il ne le faisait pas exprès. Feintant l'épuisement, il fit mine de reprendre son souffle en se penchant légèrement. Bon, il fallait un plan, l'interpeller n'était pas suffisant. Au pire, ça la retarderait quoi, une dizaine de secondes? Ridicule. Se redressant, une main au niveau de la hanche comme si il avait un point de côté douloureux, il releva son regard d'encre sur son interlocutrice. Bien sûr, il ne devait pas la regarder de haut en bas: Jouer l'indifférent apportait beaucoup plus que la vision d'un mec pervers et prêt à tout; C'était même une image répulsive, et il s'en passerait sans le besoin de s'en faire convaincre.
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