Nom : Ishikawa
Prénom : Kiyoko
Surnom(s) : Kiyo-chan
Age : 17 ans
Origine(s) : Japonaises
Orientation sexuelle : Hétéro
Année : 2e année
Dortoir & Club : Musume no bijutsu --> Dance
Personnage prédéfini : [ ] Oui [X] Non
Si j'étais une saison: L'hiver. Sous cette glaciale couche de neige, il y a une terre inerte qui ne cherche qu'à prendre vie.
Si j'étais un animal : Un loup. Il peut s'avérer menaçant aux premiers abords, mais devient un ami précieux lorsqu'on l'apprivoise.
Si j'étais un loisir : La dance, bien sûre. ;)
Si j'étais une boisson : Une boisson gazeuse. Le pétillant est agressant au début, mais on finit par s'y habituer et y prendre goût. ^^
Si j'étais un mot : Lendemain. On ne sait jamais ce que le lendemain nous réserve, même si l'on fait tout pour qu'il soit meilleur.
Si j'étais un plat : Un Taco. Il faut être précautionneux pour ne pas faire trop de dégâts. Mais, que de saveurs intéressantes! =)
Si j'étais une chanson : Life is like a boat de Rie Fu. "We are all rowing the boat of fate / The waves keep on coming and we can’t escape / But if we ever get lost on our way / The waves would guide you through another day" "Each breath escaping my body becomes transparent and goes far away / And even when I think everything’s dark, I’m only blindfolded / Offering a prayer, I wait for a new day to come / Until the reflection of the sunrise sparkling on the sea disappears completely / People’s hearts are constantly changing, peeling away fresh layers / with each new phase of the moon"
Si j'étais un objet : Un coffre dont on rempli le vide au fur et à mesure.
Si j'étais un parfum de glace : Pistache. C'est plutôt amusant de la crème glacée verte! xD
Si j'étais une partie du corps : La bouche. Elle parle agit souvent avant que l'on ait le temps de réfléchir. -_-"
Si j'étais un film : Les mémoires d'une Geisha. (Geisha qui signifie artiste...)
Si j'étais un vêtement : Pantalon. Rien de plus confortable! =O
Si j'étais un art : La peinture abstraite. À partir d'un chaos de couleur, on peut réussir à faire un mélange harmonieux.
Si j'étais un des quatre éléments : Le feu. Imprévisible. À trop s'en approcher, on finit par s'y brûler.
Caractère : (
15 lignes minimum)
Kiyoko a un caractère difficile à saisir. Elle-même ne sait pas tout à fait comment se définir. Certains traits de son caractère sont plus dominants, alors que d'autres sont dissimulés plus loin derrière quelques épaisses couches d'orgueil et de réserve. À première vue, on peut immédiatement dire qu'elle est têtue, orgueilleuse, limite moqueuse, mais tout de même amusante et sans gêne (en fait, elle se fiche un peu de ce qu'on peut penser d'elle). Elle a un humour plutôt sarcastique et elle aime bien taquiner, mais c'est rarement par méchanceté. Certains la qualifient aussi de "masculine" en raison de son style vestimentaire, de son attitude lorsqu'elle danse et de son côté impulsif et plus dure. Il est absolument hors de question qu'on l'agresse (verbalement, physiquement, etc) et qu'elle se laisse faire. Cela représenterait le comble de la faiblesse et de la vulnérabilité, ce qui est pour elle la pire des lâchetés. La jeune femme ne se gêne donc pas pour remettre à leur place ceux qui le méritent, que ce soit en lançant une réplique bien placée ou bien par la violence, (seulement en dernier recours. Généralement, une simple petite menace, au besoin, règle le problème). Puis, sous cette Kiyoko sympathique, amusante, dure et aux allures invulnérables se cache une adolescente au passé lourd et au cœur meurtri. Bien sûre, elle ne montrera jamais ce côté d'elle, car cela équivaudrait à lever les armes et dévoiler sa plus grande faiblesse. Cette Kiyoko tente réellement d'avancer vers un avenir meilleur suite à son enfance difficile. Celle-ci regrette beaucoup son passé et n'a pas encore accepté et assumé complètement certains de ses actes. Elle désire se mêler aux autres et créer des liens, mais n'y arrive pas complètement, entre autre, en raison de son fort caractère et de son impulsivité. Mais, la véritable raison est qu'elle ne laisse personne l'approcher véritablement. Connaître le plus profond de sa pensée est presque impossible. Par conséquent, Kiyoko se sent souvent seule et porter ce fardeau en solitaire la fatigue de jour en jour. Heureusement, la danse l'aide un peu, mais cela n'équivaut évidemment pas à un(e) confident(e). Son cœur est un territoire inaccessible à son entourage. Pourtant, là se trouve peut-être enfin la clé de son bonheur...
Histoire : (
20 lignes minimum)
Kiyoko n'a pas eu une enfance facile. C'est pourquoi elle porte beaucoup de cicatrices en elle qui ne sont pas encore tout à fait guérit et qui ne se refermeront peut-être jamais. Elle sait vivre avec et n'en laisse rien paraître, mais à l'intérieur, c'est une toute autre chose. Mais, commençons par le tout début, il y a 17 ans de cela, alors que la jeune femme n'avait que quelques mois à peine. Dans une jolie maison d'un quartier respectable de Tokyo, une famille qui semblait tout ce qu'il y avait de plus sain était en plein milieu d'un repas familiale. D'un côté de la table siégeait un vigoureux jeune homme dans la vingtaine. Le père: un talentueux avocat, encore au tout début de sa carrière. De l'autre côté, était assise une magnifique demoiselle, aux longs cheveux bruns et aux traits doux et effilés. La mère: une jeune adulte à peine sortie du lycée. Et entre eux, un mignon petit bébé, joyeux comme tout, riant aux éclats. Vous l'aurez deviné, il s'agissait bien de Kiyoko. Une fin digne des contes de fée. Seulement, la vraie vie est loin d'être un conte de fée et cela était à peine le début. Cette famille aisée aux allures parfaites n'était pas ce qu'elle paraissait être. Avançons de quelques années. Kiyoko avait alors environ 6 ans. Elle était une enfant très vive qui adorait bouger et faire du sport. Déjà, la danse l'intéressait particulièrement. C'est à cette période de sa vie que tout commença à se dégrader. Ses parents se querellaient de plus en plus fréquemment et violemment. La fillette ne comprenait pas ce qui amenaient son père et sa mère à se hurler l'un sur l'autre de cette manière. Pourtant, depuis aussi longtemps qu'elle se souviennent, ils étaient heureux ensemble. Pourquoi cela aurait-il changé? Peut-être était-ce un jeu, pensa tout d'abord l'enfant. Seulement, ce jeu se terminait souvent en larme du côté de sa mère et parfois même en coups du côté de son père. Puis, maman arrivait près d'elle en pleurant, parfois la main plaquée sur la joue en hurlant à sa fille que tout était de sa faute, alors que papa était parti on ne savait où. Cette période dura environ 1 an et demi. Jusqu'à ce que son père décida qu'il en avait assez. Il abandonna son épouse et sa fille pour une autre femme en ne leur laissant que la promesse de leur envoyer une généreuse somme d'argent à tous les mois. Kiyoko avait alors presque 8 ans. Elle ne comprenait toujours pas ce qu'il s'était vraiment passé. Elle se demandait pourquoi son père les avait quitté. Et si sa mère avait raison? Et si c'était vraiment de sa faute? L'enfant tenta tout pour améliorer ses résultats scolaires et sportifs et faisait tout pour devenir une fille modèle. Pendant ce temps, sa mère sombrait lentement dans l'alcool avec l'argent que lui donnait son ex-mari à chaque mois. Classique, peut-être? Avançons encore de plusieurs années. 7 ans plus tard, Kiyoko avait maintenant 15 ans. Elle était une délinquante violente et redoutable, aussi appelée "Yankee" (un genre de gang de rue au fond). Elle avait complètement arrêté la danse qui avait pourtant longtemps été une de ses passions. Elle et son groupe étaient souvent impliqués dans des crimes parfois graves, parfois mineures, passant des agressions armées aux incendies criminels. Pendant ce temps, sa mère, devenue alcoolique, vivait avec l'argent que lui envoyait toujours son ex-mari (à présent devenu un riche avocat) et noyait son chagrin dans l'alcool oubliant complètement sa fille qui avait depuis longtemps abandonné l'objectif de faire revenir son père. L'adolescente ne voyait plus de sens à sa vie et plutôt que de se noyer dans l'alcool comme sa mère, préférait passer sa colère sur des innocents et s'endurcir afin de ne jamais tomber dans le même pièce que cette dernière. Un soir, une bataille entre deux gangs survint suite à un incident mineure. Ce fut un combat violent à coup de poings et de couteaux pour certains. Kiyoko se défendit bien et tentait bien d'en finir avec son adversaire pour déguerpir, mais ce dernier, bien plus costaud qu'elle et armé, lui balança un coup de poing au visage l'envoyant valser plus loin et la poignarda plusieurs fois brutalement dans la jambe afin qu'elle ne se relève plus. Des voisins appelèrent évidemment la police. Tous prirent leur jambes à leur cou sauf... Kiyoko qui ne pouvait plus se lever, trop assommée et sa jambe dans l'impossibilité de la soutenir. Lorsque la police arriva sur place, ils appelèrent immédiatement une ambulance qui emmena l'adolescente directement à l'hôpital. On lui dit que la blessure laisserait quelques séquelles. Elle courrait plus lentement et pourrait ressentir quelques douleurs. Elle du rester à l'hôpital quelques jours. Sa mère la rejoint et l'accusa de n'être qu'un fardeau. Puis, à la grande surprise générale, son père vint aussi. Ayant apprit la nouvelle, il s'était précipité à L'hôpital afin de discuter avec sa fille. Suite à une longue discussion (que je n'écrirai pas, car ce serait bien trop long et peut-être un peu trop mélo-dramatique), maman accepta d'aller suivre une cure de désintoxication. Le cas de sa fille fut plus difficile. Il réussit tout de même à marchander avec elle qui le détestait plus que n'importe qui au monde. Si elle allait à l'école où il l'inscrirait, il s'arrangerait avec les autorités pour lui éviter le centre de détention juvénile. Après réflexion, l'adolescente accepta. Kiyoko passa donc un an sous la surveillance de son père qui l'avait fait emménager chez lui afin que son gang ne la retrouve pas (ce qui lui aurait causé beaucou pde problèmes). Elle dû consulter des psychologues pour calmer ses ardeurs, des enseignants spécialisés afin de rattraper son retard et évidemment faire de nombreux exercices de rééducation afin de retrouver sa mobilité. C'est ainsi que deux ans plus tard, elle étudie à kyoso no gakuen tout en essayant de reconstruire sa vie. Aujourd'hui, elle réalise que s'enrôler danse gang n'était pas une bonne idée et qu'elle avait eut beaucoup de chance de s'en sortir vivante et saine d'esprit. Elle passe maintenant beaucoup de temps à danser, chose qui l'aide à alléger son fardeau et construit lentement son bonheur aux côtés de ses ami(e)s. Pas à pas, Kiyoko se dirige vers un avenir meilleur. =)
Que pense votre personnage des rivalités entre sexe et entre dortoirs ?Elle s'en fiche un peu. À vrai dire, elle se mélange plutôt bien parmi les garçons. Évidemment, certains ont déjà tenté leur chance, mais ils ont vite abandonné la partie. Disons que Kiyoko sait se faire persuasive et sait imposer... le respect!
Affinités : //
Avatar : Keiko Kitagawa
Prénom/Pseudo : Camee
Age : 15 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Ma soeur y est inscrite =)
Qu'est ce qui t'as poussé à t'inscrire ? : J'aime beaucoup le contexte qui est d'ailleurs inspiré de Hanakimi. Série que j'ai adoré! ^^
[Voilà! C'est modifié!]
-->Règlement lu et approuvé! ^^
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Sam 3 Oct - 7:35
