Takashi Yuki

Nom : Takashi
Prénom : Yuki
Age : 18 ans
Orientation sexuelle : Homosexuelle
Année : 3ème année
Dortoir & Club : Taiiku no Bijutsu / Athlétisme
Personnage prédéfini : [ ] Oui [X] Non

Caractère :
Le caractère de Yuki? Que dire... Ce jeune homme possède un caractère assez étrange. Tantôt joyeux, tantôt rêveur, tantôt énervé. Avant tout, un adjectif le caractérise à merveille : rêveur. Eh oui, ce jeune japonais s’adonne souvent au plaisir de se retrouver dans son monde à lui. Depuis sa plus tendre enfance, il recherche les coins les plus sombres, les plus éloignés, les plus hauts, les plus bas, les plus sales, bref, ceux où il sait qu’il sera tranquille. Et il ferme les yeux, se laissant emporter dans un univers qui n’appartient qu’à lui-même. Dans ces moments-là, il lit aussi. D’ailleurs, on dirait qu’un livre a été greffé sur sa main car il se promène souvent avec un bouquin, que ce soit dans les couloirs, à la cantine. Si les études sont sa bête noire, il ne peut se passer une journée sans qu’il n’ouvre un bouquin ou, au pire des cas, un magasine.

Mis à part ce trait qui le rend si doux aux yeux de certains, Yuki possède aussi un caractère brutal. Les rares fois où il s’énerve, il fait vraiment peur. Mais il faut vraiment pousser à bout le jeune homme pour déclencher sa colère. Toute la haine qui est en lui ressort pendant ces moments et il est incapable de se contrôler. Doux ou brutal, cela dépend en grande partie des personnes qu’ils côtoient. Généralement, on peut le qualifier de joie de vivre, d’énergie, mais il devient méfiant et un peu distant s’il est dans un de ces mauvais jours ou ne parvient pas à apprécier une personne dès la première rencontre. L’énergie qu’il possède, il la dépense en courant. Eh oui, lecteur assidu, sa passion première est l’athlétisme. Courir et sauter dans tous les sens, c’est sa spécialité. Il s’entraîne tous les jours, ne voulant absolument pas perdre ses facultés.

Mais derrière cette facette énergique, Yuki est en fait un jeune homme assez fragile, même si il ne le montre pas. Quand une personne qu’il apprécie le blesse, sa susceptibilité revient au galop et la tristesse qui l’envahit peu durer un certain temps. Ainsi, sa colère est parfois un moyen de montrer sa peur, comme beaucoup d’autres personnes. Mais si on le connaît bien, on découvre en Yuki une source de bonheur et de joie, ainsi qu’une volonté de fer qui le pousse à toujours vouloir gagner. En effet, il déteste perdre et ne supporte pas avoir tort. Vous aurez beau clamer haut et fort votre certitude, vous aurez beau lui montrer des preuves irréfutables de ce que vous avancez, si le japonais a une idée complètement différente de la votre, il n’en démordra pas. Habituellement, on le voit sourire, pas forcément de joie, mais peut-être un rempart envers tout ce qui l’entoure...

Yuki rêve de paix, d’amour, d’harmonie. Il en rêve mais en a peur. En effet, le simple mot « amour » a tendance à le mettre mal à l’aise. Le japonais a peur d’aimer et d’être aimé aussi sûrement qu’il a peur de se retrouver enfermé. Pour lui, aimer c’est mourir. A vrai dire, dans son esprit, aimer c’est s’engager et s’investir et il sait qu’il serait capable de trop donner de sa personne dans une relation amoureuse. Sa jalousie le rongerait de l’intérieur, l’empêchant de penser normalement en l’absence de l’être aimé et sa possessivité n’arrangerait rien. De plus, il sait avoir une préférence pour les hommes. S’attacher, c’est souffrir ; comme il dit. Mais d’un autre côté, le jeune homme veut aimer. Il veut être rassuré, qu’on le prenne dans ses bras et qu’on lui murmure des mots tendres.

En résumé, Yuki est un jeune homme au caractère assez imprévisible, difficile à classer dans une catégorie : sportif et lecteur, énergique et fragile, colérique et rêveur. Il ne sort peut-être pas de l’ordinaire, mais son sourire et sa bonne humeur en font quelqu’un d’assez attachant.

Physique :

Yuki est imposant.
Oui, la première chose que vous remarquerez chez lui, c’est sa taille : dans les 1m86, facile. De ce fait, le jeune homme est très, très remarquable. De plus, il possède un teint hâlé qui ne manque pas de surprendre parfois, lorsqu’on le rencontre pour la première fois. Grand, mais sûrement pas gringalet ! Yuki possède une musculature assez développée qu’il entretient avec beaucoup de soin. Heureusement, le jeune homme sait parfaitement qu’il existe un juste milieu ; il ne veut pas ressembler à une armoire à glace et limite donc entraînements et séances de musculature. Bref, il n’a absolument rien à envier aux autres jeunes hommes de son age. Voici pour son apparence globale.

Yuki est un garçon assez mignon aux mimiques parfois tordante. Mimiques, qui ne sont pas dévoilées à tout le monde, bien entendu ! Son visage, d’abord. Deux yeux marron et bridés sont les phares de ce visage perpétuellement bronzé. Ils lui donnent tantôt une apparence accueillante, tantôt une apparence plutôt fuyante. Ses cheveux, ah ! parlons de ses cheveux. A la base bruns, le jeune homme ne cesse de changer de couleur, entre le roux-cuivré et sa première couleur. En tous cas, ils sont toujours plus ou moins coiffés, le plus souvent en désordre, lui tombant parfois sur les yeux. En gros, son visage peut refléter milles expressions si bien qu’on a souvent du mal à le définir lorsqu’on le voit pour la première fois.

Au niveau de ses tenues,Yuki n’a pas vraiment de style vestimentaire qui lui est propre. A vrai dire, il prend ce qui lui plait sur le moment, sans vraiment faire attention à ce qu’il porte. Chez lui, il ne s’habille que de vêtements larges dans lesquels il se sent à l’aise, par exemple des kimonos ou alors il adopte un pantalon de sport avec un tee-shirt large. Au lycée, il ne se contente que de jean ou de pantalons simple, ni larges, ni serrés, au couleur variant : ce peut être aussi bien du noir, du blanc, du bleu... Et pour le haut, le jeune homme ne porte pratiquement qu’une chose : des tee-shirts. Il lui arrive parfois de mettre de gros pulls en laines, en hiver, avec une longue écharpe dont il s’enveloppe de deux ou trois tours. Baskets ou chaussures de ville ? Cela dépend de son humeur. Lorsqu’il est triste, il ne met que ses pulls et semble noyer sa tristesse dans sa longue écharpe noire.

Que pense votre personnage des rivalités entre sexe et entre dortoirs ?Yuki a un avis plutôt mitigé quant à la rivalité entre sexe et dortoirs. Ca ne le gêne pas particulièrement de s’entraîner avec des filles ( rares, mais parfois très rapides !) avec qui il est censé être en compétition. En fait, il trouve ces rivalités puériles, ne les comprend, puisqu’il serait parfois lui-même tenté d’aller pousser la chansonnette ou de monter sur scène.
Affinités : A venir.^^
Avatar : Hayami Mokomichi

Prénom/Pseudo : Marie / Nishi
Age : 17 ans.
Comment as-tu connu le forum ? : Un heureux hasard =D En farfouillant, ça et là, sur les tops-sites !
Qu'est ce qui t'as poussé à t'inscrire ? : L’ambiance, le design, le contexte !Un peu tout, en fait =) Je regrette juste de n’avoir pas pu prendre Toma-chan ! >_<

« Règlement lu & approuvé »

Histoire :

Depuis le jour de sa naissance, Yuki a eu une vie des plus tranquilles.
Le jour où il vint au monde, le temps était au beau, le soleil brillait, et autour du lit où on l’avait installé, 5 paires d’yeux marron le regardaient avec tendresse. Le petit cadet venait de naître, pour le plus grand bonheur de ses sœurs et de ses parents. Car oui, il était le premier et dernier garçon de la petite famille. Celle-ci avait élu domicile à Yamaguchi, ville moyenne se situant le plus à l’ouest de Honshu et une des plus proches de la Corée du Sud.

Mais revenons à l’histoire même du petit Yuki. Enfant, c’était un garçon adorable et qui ne causait jamais le moindre problème. A vrai dire, l’enfance est une des périodes de la vie du jeune homme où il s’est senti le mieux. En effet, il ne se posait alors pas de questions et faisait comme tous les autres garçons de son âge : courir, jouer, chahuter. Peut-être un peu moins chahuteur que ses camarades, mais n’hésitant pas non plus à montrer qu’il savait se défendre. Tous ses maîtres pourront en témoigner ; même à cet âge-là, il démontrait une étonnante faculté à comprendre rapidement ce qui lui était demandé. Le petit garçon exécutait avec soin toutes les tâches qu’on lui assignait et ne rechignait jamais au travail. Il développa très vite un goût pour la lecture et les études. Mais plus que ça, ce que le petit préférait par dessus tout était sans doute les travaux manuels, le moment où il fallait sortir crayons, pinceaux, utiliser ses mains et son imagination. Il excellait dans ce domaine.

Ce fut au collège que Yuki commença à se renfermer sur lui-même. Déjà pendant l’école primaire, il avait subi plusieurs moqueries dues au fait que ses sœurs venaient toujours le chercher à la sortie ou le cajolaient. Ils avaient en partie raison. Le jeune garçon était autant surprotégé par sa mère que par ses trois sœurs. Il ne voyait pas ce qu’il y avait de mal dans cette façon de vivre et ne comprenait donc pas les moqueries et les rejets de ses camarades. Pour lui, sa famille avait toujours agi ainsi. Ce fut donc à ce moment-là qu’apparurent ses premières crises de larmes sévères. Cela le perturbait tellement que sa mère décida plusieurs fois de ne pas l’envoyer au collège. Il devenait de plus en plus introverti une fois dépassé le seuil de la maison. C’était dommage car, en compagnie de sa famille, il était un collégien des plus normaux ; il riait, blaguait, faisait des bêtises. Mais il devait s’y faire. Yuki était différent ; et il le savait. Alors, sa vie ne changea en rien. Ses sœurs le cajolaient, lui offraient ce qu’il voulait, sa mère avait constamment peur pour son « bébé ». Finalement, il parvint à surmonter sa peur des moqueries et des autres et retourna au collège pour se plonger dans ce qu’il faisait le mieux : les études. Il n’avait cure du regard des autres, ceux-ci le trouvant trop ennuyants et transparents à la longue. Ils le laissèrent donc tranquille. Yuki avait enfin la paix. Et il était seul. Si cela le dérangeait, il n’en laissa jamais rien voir à sa famille. Le jeune garçon menait déjà une double vie à 12 ans. Pendant ses années de collège, il s’inscrivit aussi dans une école d’arts plastiques. Il s’adonnait alors à sa passion de la peinture, des travaux manuels, tout en développant de plus en plus un goût inné pour la lecture. Sa chambre était devenu une véritable bibliothèque. Yuki commençait à se créer un monde unique, pour lui et personne d’autres.

Au lycée, une nouvelle surprise l’attendit. Désormais, le jeune homme n’essayait même plus de s’intégrer. Parfois, il attisait la curiosité d’une ou deux filles, mais elle laissait assez vite tomber en voyant son manque de motivation vis à vis d’elles. Les garçons étaient rares à lui parler. Mais le jeune homme s’en contentait. S’ouvrir aux autres lui était de plus en plus difficile. Il n’essayait même plus. Cependant, un jour où il voulait essayer l’appareil photo offert par son père, son univers bascula. Si l’oiseau dans l’objectif lui semblait merveilleux, son cœur s’arrêta lorsqu’apparut dans son champ de vision un jeune homme souriant. Que faisait-il dans son objectif ? Et surtout, pourquoi son sourire le troublait tant ? Pour une des premières fois de sa vie, Yuki ressentit le désir d’en apprendre plus sur un être humain. L’autre se présenta assez rapidement, visiblement enjoué par cette rencontre dans le parc non loin du lycée. Satoshi. Ce nom parvient parfois à lui arracher quelques frissons, encore aujourd’hui. Sans savoir comment, le jeune homme s’ouvrit à cet inconnu. Il ne l’avait jamais vu dans l’enceinte du lycée, étant âgé d’un an de plus que lui. Yuki lui accorda sa confiance et ils devinrent amis. Satoshi le protégeait lorsque certains de ses camarades s’avisaient de le persécuter. Les deux jeunes hommes devinrent inséparables. Une journée sans apercevoir Satoshi devenait un cauchemar pour le japonais. Les soirs à la maison lui paraissaient longs ; même ses sœurs ne parvenaient plus à attirer son attention. Elles comprirent que leur petit frère avait trouvé une personne de son âge. Très vite, le lycéen comprit que ce qu’il ressentait pour son meilleur ami allait au delà de l’amitié. Il paniqua. Pendant plusieurs jours, il évita le jeune homme, se plongeant dans ses cours comme avant. Mais son ami n’était pas dupe ; il savait que quelque chose n’allait pas. Ce fut les yeux emplis d’inquiétude qu’il vint chercher directement Yuki à sa salle de cours. Après les cours, ils se dirigèrent vers le parc. Ils s’assirent sur un banc et, maladroits comme des enfants, essayèrent d’exprimer leur sentiment. Aucun des deux n’osa prononcer le verbe « aimer ». Mais leurs yeux ne pouvaient se mentir. Les premières lèvres qui se posèrent sur celles de Yuki furent celles d’un homme. Ce soir-là, ce fut les yeux brillants, les joues rouges et le sourire aux lèvres qu’il rentra chez lui un peu plus tard que d’habitude. Alors, le jeune homme découvrit un autre monde. La vie semblait plus belle et les après-midi dans le parc devinrent son moment préféré de la journée. Du haut de leur 15 et 16 ans, les deux jeunes hommes semblaient aussi indécis l’un que l’autre et c’était souvent les mains tremblantes et les gestes saccadés qu’ils échangeaient de tendres et timides baisers. Combien de temps cette idylle dura ? Cinq, peut-être six semaines. La réalité les rattrapa alors. Cette réalité dure et inévitable. Comme Yuki aurait voulu que ce ne soit qu’un rêve ; comme il aurait souhaité que cette voiture renversant son ami ne fût qu’une illusion. Ce n’était que la réalité.

Tout s’effondra. Plus rien n’existait. La vie elle-même n’avait plus aucune valeur à ses yeux. Cet événement causa sa première et dernière tentative de suicide. Et, alors que ses larmes se mêlaient aux gouttes de sang, Yuki se maudit. Il se maudit d’avoir espéré si fort, d’avoir cru pouvoir jouir de ce que les autres obtenaient si facilement : la tendresse, l’affection, l’amour tout simplement. Mais ses sœurs n’étaient pas prêtes à le laisser partir. Il ne garda qu’un souvenir flou de son passage aux urgences et de son séjour à l’hôpital. Il ne se rappelle qu’un vide immense en se réveillant, seul, sans Satoshi à ses côtés. Ce fut la première fois qu’il en voulut à sa famille. Il leur en voulut de l’avoir sauvé.
Le retour à la réalité fut difficile. Après cet événement, le jeune homme s’enferma encore plus dans son monde. Pendant très longtemps, il ne sourit plus et pour la première fois, devint distant même avec sa famille. Sa mère pleura longtemps tandis que ses sœurs s’efforçaient de le faire rire. Au milieu de ses livres et de ses peluches, le jeune homme restait dans son univers où la souffrance ne pouvait plus l’atteindre. Au lycée, on l’évita encore plus ; on était au courant de son geste et de la raison de celui-ci. Obtenir le diplôme lui fut facile même si cela lui semblait futile, tout comme la vie. Au bout d’un an, il parvint de nouveau à rire et sourire ; les liens avec ses sœurs et ses parents finirent pas se resserrer à nouveau. Tout redevint normal. Yuki semblait avoir oublié ce qui s’était passé. Il changea également du tout au tout, niveau caractère. De son côté artistique, il ne garda que la lecture. Dessins, photos furent jetés à la poubelle, en même temps qu’un passé trop lourd à porter. Le jeune homme sortit beaucoup plus et commença à se lier avec d’autres personnes, découvrant ce que pouvait être l’amitié. Disparu le jeune homme renfermé. Il se prit de passion pour l’athlétisme, un de ses amis lui ayant fait découvrir ce magnifique domaine. A partir de ce jour, il ne jura que par ce sport, par la course. Yuki intégra l’école Kyôsô, y retrouvant d’autres adeptes de ce qui le passionnait tant. Sa vie prenait un nouveau départ. Et si la blessure restait présente, il essaye à présent de vivre avec, de la soigner par les rires d’amis ; mais surtout, ce qu’il redoute le plus, est de devoir un jour construire à nouveau une relation basée sur l’amour. Et pourtant, à 18 ans, amour, sexe et rires sont dans toutes les têtes.

Bienvenue ^o^

Encore un nouveau \o/
Ta fiche est parfaite, cependant ton avatar n'est pas de la bonne taille, la taille exigée est 200*400 n___n

Merchii =)

J'ai changé la taille du vava, ça doit être bon ! ( L'est pas gégé, mais bon, moi et le graphisme u__u )

Maintenant tout est parfait, je te valides n__n
Bon jeu sur Kyôgaku ~