Rain of Brass Petals. [PV - Takuo]

- Faiiiim…

Se fut le seul mot qui sortit de ma bouche. J’étais assit à ma table de cours, et je regardais par la fenêtre en grimaçant, me tenant le ventre tellement j’avais mal. Il faut dire que ne pas déjeuner avait aussi ses inconvénients ! En tout cas, j’en pouvais plus, alors je priais pour que la sonnerie retentisse rapidement, et cinq minutes plus tard, mes prières furent entendues. J’attrapais Nath’, mon sac, puis je partis en direction de la cafet’. J’avais gardé mes lunettes, parce que j’étais plus ou moins de mauvaise humeur. C’est juste que j’avais les crocs après tout… Quand je me serais remplis la pense, ça irait beaucoup mieux. Enfin je l’espérais… J’arrivais donc assez vite devant le self-service et j’allais déposer mon sac et ma Nath’ à une table. Je n’avais pas forcément peur qu’on me vole, je pensais pas que quelqu’un en soit capable de toute façon…

Je rejoignis finalement la file d’attente, et attendit une bonne quinzaine de minutes, me rendant compte que ça n’avançait pas. C’était absolument désespérant ! J’avais trooop faim, fallait que je fasse quelque chose. Je regardais alors la personne devant moi, puis après avoir murmuré un « pardon », je pris sa place. C’était pas sympa, mais je m’étais au moins excusé. S’il me demandait de m’expliquer, bah je lui dirais la vérité, ou presque… Je lui sortirais un truc du genre « vaut mieux que tu me laisses passer si tu veux pas avoir la mort d’un élève sur ta conscience… ». Mais alors que je pensais être tranquille, je me sentis reculer sans forcément contrôler mes gestes, puisqu’on me tirait, et j’entendis :

- Tu devrais retourner à ta place, p'tit malin.

Hein de quoi ? Mais j’ai besoin de miamer moi, alors c’est bon, va pas commencer à me faire un caprice quand même, il a pas mieux à faire ou quoi ? Raah ça me gonfle les gens comme ça, ils pensent qu’à eux… Moi aussi ? Nan, là, c’est un cas d’extrême urgence, et puis :

- AAAAAAAAH ! ‘Tain c’est pas vrai, j’y crois pas…

J’étais par terre… MOI ? Au sol ? A cause d’un imbécile qui chouinait parce que je lui avais piqué sa place ? Mais qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire d’abord ? Dernier ou avant dernier, c’est pareil ! Il est con ou quoi ? Je me relève rapidement, frottant mes fesses et mon dos, avant de retourner pile devant le garçon, l’empêchant d’avancer. Bah ouais, j’ai pas peur de lui, et je compte pas me faire éjecter une deuxième fois, ça non ! Je lui jette un regard noir, puis j’explique :

- C’est quoi ton problème à toi ? Tu vas pleurer parce que je t’ai baisé ta place !? C’est bon, toi t’es pas à l’agonie, ça va… Alors tu pourrais être compréhensif ! En plus, je m’étais excusé, alors calmes-toi ok ? Non mais j’te jure…

Pour la peine, j’attrape carrément son plateau, et mine de rien, je continue d’avancer dans la file, remplissant l’objet volé de tout ce que je pouvais, j’avais vraiment la dalle, d’ailleurs, j’attrapais mon entrée et des baguettes puis je commençais à me régaler d’une bouchée. Ahlala, c’était trop bon…

- Haaa ça fait du bien…

Mon petit commentaire attire un peu trop l’attention, alors je fais une grimace puis continue de remplir MON plateau, sans un mot.

J’aurais pus m’attendre à une réaction plutôt négative, mais nan, ce couillon se mettait à rire comme un abruti, et déjà, tout le monde le dévisageait. Pour ma part, je préférais pas le regarder, nan, je le connais pas… Enfin, qu’il s’esclaffe autant qu’il veut, moi, je continuais mon petit bonhomme de chemin avec le plateau repas. J’arrivais bientôt au niveau des plats principaux, et observait tout ça avec les yeux brillants. Ca avait pas forcément l’air bon, mais des fois, on peut tomber sur des trucs assez sympas, faut juste pas avoir peur de la tronche qu’a la nourriture. Mais niveau bouffe, j’étais un aventurier, je goutais à tout, après je jugeais. Je zieutais donc les différents mets proposés, puis, voyant la « dame de la cantine » s’impatienter, je montrais du doigt une assiette avec une sorte de viande bien blanche, accompagnée de riz et de légumes en tout genre. Je me demandais même si certains étaient vraiment comestibles…

La femme me servit d’une façon très peu enthousiaste, et je la remerciais d’un demi-sourire moqueur. Je continuais ensuite ma route vers les desserts, le meilleur. Entre temps, j’entendis un « c’est… c’est mon plateau… ». Je fis comme si je n’avais rien entendu, voulant éviter de lui répondre un truc du genre « bah t’as qu’à v’nir le récupérer alors, espèce de triso ! ». Je pris une tarte aux pommes et un flan au chocolat, avant d’observer la nourriture une dernière fois : je voulais être sur de n’avoir rien oublié… Puis à ce moment, mes yeux dérivèrent sur des mains qui n’étaient pas les miennes et qui étaient venues sauvagement se poser sur MON plateau. J’écarquillais les yeux et retins l’objet du mieux que je peux, mais je finis par lâcher prise quand son ancien propriétaire s’en empara. P’tain le bougre, j’avais même pas capté qu’il s’était calmé avec sa foutue crise de rire.

Les mains vides, je restais figé sur place, ne croyant pas une seule seconde à l’impétueuse erreur qu’il venait de commettre. Ca ne semblait pas le déranger de m’avoir prit mon plateau, non mais il était pas bien ce type. Je remonte mes lunettes, fronce mes sourcils, puis soudain, j’attrape le flan au chocolat et le lui écrabouille avec insistance sur son haut, avec un sourire empli d’ironie, avant de dire :

- De rien… Et bon appétit !

Sur ce, je m’emparais de la tarte aux pommes et quittais à regret le reste des victuailles que j’avais mis tant de temps à amasser. Je rejoignis finalement ma Nath’ d’amour, m’asseyant en tailleur sur le banc près de la table. Je tendis la nourriture à ma « moitié », puis je demandais :

- T’en veux ? Nan ? Pas grave, je mange tout.

Ca m’éclatait, les élèves avaient tendance à me prendre pour un con quand je parlais avec ma guitare, c’était sympa, moi ça m’amusait. Je pris donc une bouchée de la tarte aux pommes, savourant bien celle-ci. J’aurais espéré pouvoir manger plus, mais ce con en avait décidé autrement apparemment. Enfin bon, maintenant, je commençais à aller mieux. Je retirais alors mes lunettes, puis les posaient sur la table, avant de pousser un long soupir :

- Fouaah… Quelle vie… Heureusement qu’ils sont pas tous comme ça, sinon on s’en sortirait plus. Un putain de schizo ce mec… Ca fait peur. Pas vrai My Angel ?

J’observais Nath’ avec et lui fit un clin d’œil, puis je continuais de manger bien tranquillement, un sourire presque niais bien ancré sur mes lèvres.

Finalement, Mr. Strange lui avait fait son menu, étant donné qu'il s'était servi comme si c'était SON plateau.
Son choix n'était pas mauvais, ainsi Akira décida de ne rien retoucher.
Alors qu'il pensait s'être enfin sorti de cette galère, le louche était à nouveau devant lui avant de soudainement lui écraser le flan au chocolat de son plateau sur sa chemise... blanche.

Akira eut une réaction très calme, regardant l'étendue des dégâts, la bouche légèrement entrouverte par la surprise d'un tel geste.
Ce type était non seulement taré, mais méritait aussi une bonne correction cette fois-ci.
Si la situation d'un peu plus tôt avait été plutôt amusante, celle-ci l'était moins.
Maintenant, il se servait dans SON plateau, prenant la tarte aux pommes puis il partit s'assoir à une table là où il avait déposé toutes ses affaires.
Il ne perdait rien pour attendre. Chercher un peu trop Akira était une mauvaise chose et sa sympathie envers lui avait totalement disparue.

Jetant un coup d'oeil à son plateau, il prit le plat principal entre ses mains, sous les commentaires se voulant relaxants de ses camarades:

- Laisse tomber Akira, vas plutôt te changer.

- Oui il a raison; oublie, c'est un idiot. Il a un gros problème... On lui fera payer un de ces quatre.

Akira, silencieux, n'écoutait même pas les remarques de ses "amis" en réalité, trop concentré sur la vengeance qu'il était en train d'établir dans son esprit.

Ainsi, il se dirigea finalement vers l'abruti de service sous les yeux surpris sans réellement l'être de ses compagnons qui eux, ne bougèrent pas, trop occupés à observer ce qui allait se passer.

Le jeune homme se cala devant son nouvel ennemi qui était en train de tranquillement dévorer sa tarte aux pommes avec un sourire niais.
Ce n'était pas la seule chose qu'il allait manger aujourd'hui...

Nee! Lança t'il alors d'un ton calme pour attirer son attention.

Quand ce dernier releva les yeux sur lui, Akira lui colla le plat principal dans le visage, appuyant bien afin que les légumes s'écrasent le mieux possible sur sa peau.
Puis, perdant finalement son sang froid, il ajouta un coup de poing dans le nez de ce dernier.
Il n'avait pas voulu le frapper mais Akira n'avait vraiment pas pu se retenir.
De toute façon, il n'avait pas à regretter son geste après ce que Mr. Strange venait de faire.
Si il se croyait chez lui ici, Takahashi lui montrerait qu'il y avait quelques limites à ne pas dépasser.

Vas falloir sacrément te calmer. Et si tu n'y arrives pas tout seul, d'autres le feront pour toi.

Akira soupira un peu avant de repartir en direction de ses camarades qui l'attendaient encore, figés.

Je continue de manger, bien tranquillement. Je suis déjà à la moitié de ma tarte aux pommes, et je commence à me dire que l’autre pov’ type ne viendra pas chercher la bagarre. Mouais… Sans doute qu’il doit être en train de nettoyer les dégâts mérités que j’ai infligé à sa saleté de chemise blanche. Le chocolat, en plus, c’est difficile à faire partir nan ? En tout cas je l’espère… Ouais, j’étais vache sur ce coup, franchement… Bah, si un jour je le recroise, je m’excuserais, peut-être… Enfin, voilà que je viens de finir ma tarte. P’fuu, se fut court, mais tant pis. Je commence à lécher le bout de mes doigts un peu collant à cause du sucre, puis un « Nee » se fait entendre, juste derrière moi. Quoi ? Quelqu’un qui veut un autographe peut-être ? Hohoho, je n’hésite donc pas bien longtemps et me retourne, un grand sourire aux lèvres, en lâchant un long :

- Ouiiiii ?

Et puis là, c’est le drame. Jai pas eus le temps de rien capter, j’ai même pas eus le réflexe de me pousser. Nan, j’étais beaucoup trop surpris pour faire un seul geste, alors du coup, je me suis pris un bon plat de riz et de légumes en plein dans la face. Je pouvais pas dire que c’était agréable, oh non… D’autant plus que la personne qui m’avait fait ça insistait bien sur la zone de l’impact. Je restais figé de surprise, me demandant si j’étais pas en train de rêver… Ca se pourrait après tout nan ? Y’a que dans les mangas qu’on voit ce genre de truc ! Puis bientôt, mes pensées s’en vont, car je viens de me faire frapper, un bon coup de point dans le nez. J’aurais dus m’énerver, riposter, mais nan... Je regarde mon débardeur qui est complètement dégueulassé, puis je remercie le ciel que ce fou ait épargné ma Nath’. Ouais je sais ça craint, je tiens presque plus à ma guitare qu’à ma propre personne.

Sans un mot, ni un regard pour mon « agresseur », j’attrape Nath’ d’une main et mon sac de l’autre. Je m’arrête devant une table où déjeunais bien tranquillement quelques premières années, puis leur subtilise une serviette en papier, avant de partir vers la sortie de la cafet’. Non, j’ai pas honte, mais voilà, faut que j’aille laver tout ça… Je peux décemment pas rester dans cet état quand même ! Pendant que je marche, je m’essuie le visage et, passant près d’une poubelle, je jette la serviette imbibé de sauce de soja et incrustée de légumes en tout genre. Je me regarde de loin dans la porte vitrée de l’entrée de la cafet’ : c’est bon, nickel… Puis, alors que je rejoins la sortie, je passe devant l’autre dingue et ses « supers amis ». Je souris, m’arrête devant eux en les observant d’un air sage.

Ouais, après tout, le ridicule ne tue pas hein ? Moi en tout cas, je suis pas encore mort. Je leur adresse un salut bref de la main, puis je lâche mon sac pour attraper une des joues de mon bourreau pour le forcer à tourner la tête et me regarder. J’avoue alors :

- T’es vraiment quelqu’un de puéril… ‘Fin bon, moi, je suis moins con que toi, alors je m’excuse, t’es content ? Tiens, c’est pour toi…

Et sur ces mots, mes lèvres rejoignent celles du garçon un court instant. Le baiser terminé, je passe ma langue sur mes lèvres, puis je remarque :

- Les légumes étaient quand même meilleurs…

Je tire la langue et lui montre un magnifique doigt d’honneur « amical » en riant, puis je m’en vais, sortant du réfectoire en soupirant. Puis là, je remarque un truc : comme un sombre crétin, j’ai oublié mes lunettes à l’intérieur. Putain ça casse tout… Là, vraiment, je suis dégouté. J’avais fait une super sortie et tout, l’autre il devait pas y croire… Aaah tant pis ! Donc, l’air de rien, je rentre une fois de plus dans la cafet’ puis me dirige vers la table où j’avais mangé ma tarte aux pommes, et reçus une bonne tarte aux légumes. Je ramasse mes lunettes, puis les mets dans mon sac, en évitant de regarder l’autre débile : dommage, j’aurais bien aimé voir sa réaction…

Spoiler:

Vraiment, ça le faisait pas de revenir sur les lieux d’une « dispute » après y avoir mit fin aussi majestueusement. J’étais vraiment con d’avoir laissé mes lunettes, ah, ça me dégoutais… Un soupire m’échappe alors, et un « Nee » se fait entendre. Oh… Comme une impression de déjà vu. Bizarrement, j’ai pas trop envie de me retourner, vu la façon dont ça s’est terminé pour moi la première fois. Alors, bien sur, j’hésite un moment avant de finalement faire face au garçon, mes mains sur mon visage, histoire de me protéger. Je voulais anticiper les choses… Mais rien, il me frappe pas, il me jette pas de nourriture à la tronche. Ah, tant mieux, parce que je crois que je l’aurais moins bien supporté ce coup-ci. Je retire mes mains de devant ma tête, puis j’observe mon vis-à-vis qui apparemment, essai de sympathiser : oh comme c’est mignon… P’fuu, et il croit que je vais lui pardonner comme ça ? Haha…

- Je m'appelle Takahashi Akira. Et toi ?

Grand sourire sur mes lèvres. C’est l’occasion de me venger, tout en finesse. Bah, c’est pas comme si je refusais sa gentillesse, non, ça me fait un peu plaisir qu’il fasse preuve de docilité, mais bon, après ce qu’il a osé me faire endurer, j’ai tout à fait le droit de le faire tourner en bourrique. Aussi, je crois que ça va commencer comme ça : avec un gros bobard, comme je sais si bien les inventer. Je prends un air aimable et sérieux, puis je réponds :

- Moi c’est Ryoto Hikaru (pouaah le menteur -_-), enchanté…

Je regarde sa main tendue devant moi, et pousse son bras pour qu’il le remette le long de son corps. Il croyait quoi lui ?

- On est plus à l’époque du jurassique hein ? Y’a plus que les fossiles qui se serrent la main, puis on est devenus trop intime pour se saluer de cette façon désormais !

Je fais passer ma langue sur mes lèvres pour lui faire comprendre mon gros sous-entendus, et lui rappeler le baiser. Bien sur, ce n’était que de l’ironie, mais je trouvais cela follement amusant. Je finis par m’assoir à la table, en souriant, puis je pose mes yeux sur Akira, en réfléchissant. Je me demandais ce qui le poussait à être si « adorable » tout d’un coup. C’était peut-être une ruse, un piège, et au moment où je m’y attendrais le moins, il me ferait la pire des crasses pour me faire regretter de l’avoir « malmené ». Mouais… Fallait que je reste le plus méfiant du monde avec lui, il ne m’inspirait que très moyennement confiance. Mes yeux passèrent de haut en bas pour inspecter en détail mon interlocuteur, puis mon regard s’arrêta sur sa chemise encore teintée de chocolat. J’attrapais alors soudainement le bas de celle-ci, et attirait Akira vers moi, avant de dire :

- Tu vas laisser ça comme ça ? Ok, c’est un honneur d’avoir été sali par quelqu’un comme moi, mais quand même, c’est crade…

Je disais ça, mais j’avais encore de la sauce sur mon débardeur. Je soupirais et lâchais sa chemise, avant de continuer :

- Dis à tes petits amis qu’on va aller faire des trucs cochons dans les toilettes, histoire qu’on soit pas dérangés…

Je me retenais d’exploser de rire face à ma propre connerie, puis je tirais la langue. Ca, c’était mon côté provoc’ sans doute… Je me repris :

- Bah allez, c’est pour rire… Je t’emmène juste nettoyer tout ça, façon, moi aussi je peux pas rester dans cet état… Enfin après je te force pas, je comprendrais que t’ais peur de te retrouver seul avec un type comme moi dans des toilettes, on sait jamais ce qui pourrait arriver à ton joli minois…

Je partis en ricanant en direction des toilettes de la cafet’, puis allait près des lavabos : et comment je faisais pour nettoyer ça hum ? Aaah ça me prenait sauvagement la tête. Sans trop réfléchir, je retirais mon débardeur, faisant fuir les quelques garçons qui étaient là : soit ils me prenaient pour un pervers, soit ils avaient eut peur de mes tatouages (pour les tatouages, euh, bah Takuo a les mêmes que Miyavi, forcément X3). Je souris, puis m’asseyait sur le rebord de porcelaine qui soutenait les lavabos, avant de faire couler l’eau d’un des robinets. Je passais alors mon débardeur dessous et frottais, mais ça ne semblait pas vouloir partir. J’étais blasé… Je ne pus que soupirer et attraper un peu de savon, pour vor si ça allait mieux fonctionner, mais apparemment, seul un lavement en machine pourrait enlever le plus gros de la tâche… Et bien, me voilà pas rassuré. Il allait falloir que je retourne aux dortoirs, et le seul truc con, c’était que la pause déjeuné était bientôt finie…

Je voulais pas rater les cours, bah quoi ? C’est pas parce que j’ai l’air d’un débile que j’en suis un, au contraire. Personnellement, le travail, moi, ça me dérange pas, au contraire. D’ailleurs, aussi bizarre que cela puisse paraître, je n’avais jamais séché aucuns de mes cours : pas mal hein ? Et ouais, je suis bien loin de toute comparaison avec le gars je-m’en-foutiste qui ne va jamais à l’école et qui emmerde les profs’. Enfin bon, ça réglait pas mon problème…

- ‘Tain, je fais comment moi maintenant…